Boundiali et Dikodougou, 24 juin dernier. Ce sont les deux dernières étapes du périple de l’équipe du Cabinet de la Première Dame de Côte d’Ivoire dans le District des Savanes. Comme aux étapes précédentes, Mme Yao Patricia Sylvie, la Directrice de Cabinet de Mme Ouattara et ses collaborateurs ont offert aux populations des tonnes de dons. En effet, ces dernières localités ont eu à leur tour, la pleine mesure de la dimension de la générosité de la Présidente de Children of Africa. Selon Mme Yao Patricia, la Première Dame apporte son soutien aux couches sociales défavorisées à travers ces dons pour les femmes, les jeunes et les enfants. La longue liste des dons laisse toujours pantois plus d’un. Des broyeuses de manioc et de maïs, des décortiqueuses, des motopompes des pulvérisateurs, des brouettes et autres pour aider les femmes dans leurs travaux de production. En vue d’ouvrir des instituts d’éducation féminine ou de dynamiser les activités de celles qui existent déjà, ce sont des congélateurs, des cuisinières ou encore des machines à coudre qui sont offertes. Comme toujours, encore du matériel scolaire et pédagogique pour toutes les écoles des départements visités.
Dans le domaine de la santé, ce sont des tables d’accouchement, des tables d’examen gynécologique, des boites de petites chirurgies, des réfrigérateurs médicaux, des lits d’hospitalisation et matelas, des pèse-bébés qui viennent équiper tous les centres de santé des différents départements. Ce matériel médical est accompagné de kits d’incitation à fréquenter les centres de santé pour les visites prénatales et les accouchements à la maternité. En l’occurrence des couffins, des baignoires et des produits cosmétiques pour bébés. Toujours pour les enfants, des toboggans, des balançoires, des chaises pour enfants et bien d’autres équipements des écoles maternelles. Et pour les plus grands, toute une panoplie de petit matériel pour les cantines scolaires et du matériel sportif pour les lycées et collèges. Mme Yao a demandé aux préfets et aux élus d’asseoir un comité pour arrêter une clé de répartition équitable de tout ce matériel. Elle a aussi expliqué que tous ces dons s’inscrivent dans le cadre du combat que mène Mme Dominique Ouattara pour le mieux-être des enfants à travers les activités de la Fondation Children of Africa qu’elle a créée bien longtemps avant de devenir la Première Dame de Côte d’Ivoire.
Toute chose qui explique que le Président de la République ait confié le Comité National de Lutte contre le travail des enfants à son épouse. « La place des enfants est à l’école. Il ne faut pas les retenir dans les champs, au marché, derrière les bœufs ou à la maison », a dit Mme Yao. Selon elle, le mieux-être des enfants passe aussi par celui de la mère. D’où la mise en place du Fonds d’Appui au Femmes de Côte d’Ivoire, le FAFCI, doté d’un fonds initial d’un milliard de nos francs. Mme Yao a demandé à ses sœurs de prendre d’assaut les bureaux des Coopec pour souscrire au fonds créé par la Première Dame pour les aider à sortir de la pauvreté. Les différents préfets, les maires et les porte-paroles des femmes ont une fois de plus remercié les émissaires de la Première Dame. Ils leur ont demandé de lui traduire toute leur gratitude tout en prenant le ferme engagement d’utiliser à bon escient les différents dons. Kouakou N’Dri, Préfet du département de Dikodougou a rassuré l’émissaire de la Première Dame de l’impact de son combat sur ses administrés.
Il a révélé que dès sa prise de fonction, il a constaté que l’école n’était pas un droit pour tous les enfants de Dikodougou. Aussi, a-t-il sensibilisé les populations afin qu’elles scolarisent leurs enfants. Ainsi, à la suite de cette campagne de sensibilisation, des écoles communautaires ont vu le jour. A ce jour, ce sont 1.533 enfants qui ont été scolarisés dans le département. Issa Coulibaly, Préfet de la région du Bagoué, a, quant à lui, remercié la Première Dame pour ces dons. Pour lui, cette action n’étonne guère quand on connait sa vocation pour les œuvres humanitaires. Pour sa part, Touré Kouanandi, 3ème adjoint au maire de Boundiali et Bakayoko Daouda, maire de Dikodougou ont, quant à eux, rendu hommage à la Première Dame pour ces dons. Des hommages rendus aussi par Mme Soro Yédé, porte-parole des femmes de Dikodougou et Mme Wandja Fofana, porte-parole des femmes de Boundiali.
Mack Dakota, Correspondant
Dans le domaine de la santé, ce sont des tables d’accouchement, des tables d’examen gynécologique, des boites de petites chirurgies, des réfrigérateurs médicaux, des lits d’hospitalisation et matelas, des pèse-bébés qui viennent équiper tous les centres de santé des différents départements. Ce matériel médical est accompagné de kits d’incitation à fréquenter les centres de santé pour les visites prénatales et les accouchements à la maternité. En l’occurrence des couffins, des baignoires et des produits cosmétiques pour bébés. Toujours pour les enfants, des toboggans, des balançoires, des chaises pour enfants et bien d’autres équipements des écoles maternelles. Et pour les plus grands, toute une panoplie de petit matériel pour les cantines scolaires et du matériel sportif pour les lycées et collèges. Mme Yao a demandé aux préfets et aux élus d’asseoir un comité pour arrêter une clé de répartition équitable de tout ce matériel. Elle a aussi expliqué que tous ces dons s’inscrivent dans le cadre du combat que mène Mme Dominique Ouattara pour le mieux-être des enfants à travers les activités de la Fondation Children of Africa qu’elle a créée bien longtemps avant de devenir la Première Dame de Côte d’Ivoire.
Toute chose qui explique que le Président de la République ait confié le Comité National de Lutte contre le travail des enfants à son épouse. « La place des enfants est à l’école. Il ne faut pas les retenir dans les champs, au marché, derrière les bœufs ou à la maison », a dit Mme Yao. Selon elle, le mieux-être des enfants passe aussi par celui de la mère. D’où la mise en place du Fonds d’Appui au Femmes de Côte d’Ivoire, le FAFCI, doté d’un fonds initial d’un milliard de nos francs. Mme Yao a demandé à ses sœurs de prendre d’assaut les bureaux des Coopec pour souscrire au fonds créé par la Première Dame pour les aider à sortir de la pauvreté. Les différents préfets, les maires et les porte-paroles des femmes ont une fois de plus remercié les émissaires de la Première Dame. Ils leur ont demandé de lui traduire toute leur gratitude tout en prenant le ferme engagement d’utiliser à bon escient les différents dons. Kouakou N’Dri, Préfet du département de Dikodougou a rassuré l’émissaire de la Première Dame de l’impact de son combat sur ses administrés.
Il a révélé que dès sa prise de fonction, il a constaté que l’école n’était pas un droit pour tous les enfants de Dikodougou. Aussi, a-t-il sensibilisé les populations afin qu’elles scolarisent leurs enfants. Ainsi, à la suite de cette campagne de sensibilisation, des écoles communautaires ont vu le jour. A ce jour, ce sont 1.533 enfants qui ont été scolarisés dans le département. Issa Coulibaly, Préfet de la région du Bagoué, a, quant à lui, remercié la Première Dame pour ces dons. Pour lui, cette action n’étonne guère quand on connait sa vocation pour les œuvres humanitaires. Pour sa part, Touré Kouanandi, 3ème adjoint au maire de Boundiali et Bakayoko Daouda, maire de Dikodougou ont, quant à eux, rendu hommage à la Première Dame pour ces dons. Des hommages rendus aussi par Mme Soro Yédé, porte-parole des femmes de Dikodougou et Mme Wandja Fofana, porte-parole des femmes de Boundiali.
Mack Dakota, Correspondant
