Le 1er festival culinaire et touristique d’aulacode (agouti) d’élevage aura lieu, du 6 au 7 août 2013 à Toumodi, à la place Gabriel Tiacoh. Au cours d’une conférence de presse, mercredi, dans la salle de conférence de Côte d’Ivoire-Tourisme, au Plateau, le promoteur du festival, Pierre Assouman, en donné les grandes articulations.
La vitrine du festival, a-t-il dit, c’est la finale du concours culinaire d’agoutis d’élevage dont les présélections ont démarré samedi, par Abidjan. Elles se poursuivront dans les villes de Dimbokro, Yamoussoukro, Toumodi, Djékanou, Didiévi, Tiébissou, Oumé, Kocumbo.
A chaque étape, 2 plats sont imposés aux tenancières de maquis pour trois candidats retenus : le kédjénou et le gouagouassou à l’aulacode d’élevage.
Les restaurateurs qui cuisinent le choukouya et le braisé d’aulacode sont soumis aux mêmes critères.
Ce sont donc 22 candidats présélectionnés qui s’affronteront au cours de la grande finale du festival, le 7 août, à Toumodi.
Plusieurs prix sont en jeu dans cette compétition dont le premier porte le nom de Gabriel Tiacoh, médaillé d’argent aux Jeux olympiques de 1984 sur 400 mètres plats, à Los Angeles, aux Etats-Unis.
«A tous les candidats, nous donnons gratuitement un agouti vivant. Ils le tuent devant les agents des eaux et forêts parce que notre objectif est de faire la promotion de la viande d’agouti d’élevage, toujours entourée de préjugés, en vue de réduire le braconnage sur l’espèce sauvage. Ensuite montrer que l’élevage d’aulacode crée des emplois.
D’ailleurs, les éleveurs pourront faire leur promotion du produit de leurs fermes, à travers les stands qui leur sont réservés. On pourra voir des aulacodins et des aulacodinettes avec leurs aulacodos vivants dans leur aulacoderie en présence d’un aulacodier», a dit Pierre Assouman. Les stands sont aussi ouverts aux tenancières de maquis de la région.
Mais, a insisté le promoteur du festival d’agouti, tous les mets à proposer au public qui effectuera le déplacement doivent être à base d’aulacode. Du piqué au spaghetti en passant par les brochettes, le méchoui, la pizza, le pâté, le peper-soupe, tout passera dans ce festival de Toumodi, si l’on en croit Pierre Assouman.
A vos langues !
Bruno Kouadio
La vitrine du festival, a-t-il dit, c’est la finale du concours culinaire d’agoutis d’élevage dont les présélections ont démarré samedi, par Abidjan. Elles se poursuivront dans les villes de Dimbokro, Yamoussoukro, Toumodi, Djékanou, Didiévi, Tiébissou, Oumé, Kocumbo.
A chaque étape, 2 plats sont imposés aux tenancières de maquis pour trois candidats retenus : le kédjénou et le gouagouassou à l’aulacode d’élevage.
Les restaurateurs qui cuisinent le choukouya et le braisé d’aulacode sont soumis aux mêmes critères.
Ce sont donc 22 candidats présélectionnés qui s’affronteront au cours de la grande finale du festival, le 7 août, à Toumodi.
Plusieurs prix sont en jeu dans cette compétition dont le premier porte le nom de Gabriel Tiacoh, médaillé d’argent aux Jeux olympiques de 1984 sur 400 mètres plats, à Los Angeles, aux Etats-Unis.
«A tous les candidats, nous donnons gratuitement un agouti vivant. Ils le tuent devant les agents des eaux et forêts parce que notre objectif est de faire la promotion de la viande d’agouti d’élevage, toujours entourée de préjugés, en vue de réduire le braconnage sur l’espèce sauvage. Ensuite montrer que l’élevage d’aulacode crée des emplois.
D’ailleurs, les éleveurs pourront faire leur promotion du produit de leurs fermes, à travers les stands qui leur sont réservés. On pourra voir des aulacodins et des aulacodinettes avec leurs aulacodos vivants dans leur aulacoderie en présence d’un aulacodier», a dit Pierre Assouman. Les stands sont aussi ouverts aux tenancières de maquis de la région.
Mais, a insisté le promoteur du festival d’agouti, tous les mets à proposer au public qui effectuera le déplacement doivent être à base d’aulacode. Du piqué au spaghetti en passant par les brochettes, le méchoui, la pizza, le pâté, le peper-soupe, tout passera dans ce festival de Toumodi, si l’on en croit Pierre Assouman.
A vos langues !
Bruno Kouadio
