Depuis le mardi 2 juillet 2013, la Fédération ivoirienne de football a suspendu Koné Cheick Oumar pour 2 ans de toute activité liée au football. La Commission de discipline de l’instance fédérale en a ainsi décidé à la suite de sa réunion tenue à sa date.
Suite aux affaires C.O.K-Africa sports et SOA- Africa sports, Koné Cheick Oumar a comparu devant ladite commission pour donner des explications sur les incidents survenus à l’occasion de ces deux matches entrant dans le cadre des 24ème et 25ème journées de la manche retour de la Ligue1. Il affirme s’être prévalu de la décision1120 du tribunal de première instance d’Abidjan en date du 25 juin 2013 qui le maintient dans les fonctions de président du Conseil d’administration de l’Africa sports d’Abidjan pour faire faire auditionner le commissaire au match Benjamin Koffi (C.O. K- Africa à Bouaké). En agissant ainsi, il s’agissait pour lui d’établir la matérialité du faux dont il accuse ses adversaires au sein du conseil d’administration de l’Africa.
Koné Cheick Oumar ajoute que l’intervention du substitut résident de Toumodi au stade de Yamoussoukro (30 juin 2013) ne visait qu’à faire exécuter le jugement 1120 du 27 juin 2013 du tribunal de première instance d’Abidjan demandant le rétablissement de la légalité à l’Africa, c’est-à- dire réinstaller Koné Cheick Oumar à la tête du conseil d’administration de l’Africa en lieu et place de Vagba Alexis qui a actuellement la réalité du pouvoir sur le terrain chez les Vert et Rouge.
La Fédération ivoirienne de football, en vertu de l’article 77 de ses statuts, a sévi en interdisant, pour 2 ans, toute activité liée au football à Koné Cheick Oumar. Qui a contrevenu à l’article 68-2ème des statuts de la FIFA dont la teneur suit : « Tout recours devant un tribunal ordinaire est interdit, sauf s’il est spécifiquement prévu par les règlements de la FIFA. Tout recours devant un tribunal ordinaire est également interdit pour tout type de mesures provisionnelles ». La FIF, en tant que membre de la FIFA obligée de respecter et de faire respecter les statuts, règlements, directives et décisions de la CAF, de l’UFOA et de toute autre organisation internationale à laquelle elle viendrait à s’affilier, a donc agi conformément à ce qui précède. En clair, Koné Cheick Oumar qui a eu recours aux juridictions de droit commun maintenant et par le passé dans l’affaire Inai Stéphane (Joueur de l’Africa purgeant actuellement une suspension de 2 ans pour fraude sur l’identité et sur l’âge) subi donc la rigueur de l’arsenal juridique mis en place par les institutions sportives aussi bien nationales qu’internationales.
R.O.V
Suite aux affaires C.O.K-Africa sports et SOA- Africa sports, Koné Cheick Oumar a comparu devant ladite commission pour donner des explications sur les incidents survenus à l’occasion de ces deux matches entrant dans le cadre des 24ème et 25ème journées de la manche retour de la Ligue1. Il affirme s’être prévalu de la décision1120 du tribunal de première instance d’Abidjan en date du 25 juin 2013 qui le maintient dans les fonctions de président du Conseil d’administration de l’Africa sports d’Abidjan pour faire faire auditionner le commissaire au match Benjamin Koffi (C.O. K- Africa à Bouaké). En agissant ainsi, il s’agissait pour lui d’établir la matérialité du faux dont il accuse ses adversaires au sein du conseil d’administration de l’Africa.
Koné Cheick Oumar ajoute que l’intervention du substitut résident de Toumodi au stade de Yamoussoukro (30 juin 2013) ne visait qu’à faire exécuter le jugement 1120 du 27 juin 2013 du tribunal de première instance d’Abidjan demandant le rétablissement de la légalité à l’Africa, c’est-à- dire réinstaller Koné Cheick Oumar à la tête du conseil d’administration de l’Africa en lieu et place de Vagba Alexis qui a actuellement la réalité du pouvoir sur le terrain chez les Vert et Rouge.
La Fédération ivoirienne de football, en vertu de l’article 77 de ses statuts, a sévi en interdisant, pour 2 ans, toute activité liée au football à Koné Cheick Oumar. Qui a contrevenu à l’article 68-2ème des statuts de la FIFA dont la teneur suit : « Tout recours devant un tribunal ordinaire est interdit, sauf s’il est spécifiquement prévu par les règlements de la FIFA. Tout recours devant un tribunal ordinaire est également interdit pour tout type de mesures provisionnelles ». La FIF, en tant que membre de la FIFA obligée de respecter et de faire respecter les statuts, règlements, directives et décisions de la CAF, de l’UFOA et de toute autre organisation internationale à laquelle elle viendrait à s’affilier, a donc agi conformément à ce qui précède. En clair, Koné Cheick Oumar qui a eu recours aux juridictions de droit commun maintenant et par le passé dans l’affaire Inai Stéphane (Joueur de l’Africa purgeant actuellement une suspension de 2 ans pour fraude sur l’identité et sur l’âge) subi donc la rigueur de l’arsenal juridique mis en place par les institutions sportives aussi bien nationales qu’internationales.
R.O.V