La Commission dialogue, vérité et réconciliation (Cdvr) avance dans son chronogramme d’actions. A preuve, la Commission heuristique de cette structure organise les 10, 11 et 12 juillet 2013 à la Fondation Félix Houphouët Boigny pour la recherche de la paix de Yamoussoukro un colloque dont le thème est : « Comprendre pour mieux (se) réconcilier ». Face à la presse, lundi 24 juin 2013, au siège de la Cdvr à Cocody-Mermoz, le président de cette commission, le Pr Sery Bailly en a donné les détails.
« Des diagnostics ont assurément été faits avant l’avènement de la Cdvr. Il conviendra de les reprendre afin de mieux comprendre et fortifier notre conviction », a expliqué le Pr Sery Bailly. Il a énoncé trois objectifs généraux recherchés à travers l’organisation d’une telle rencontre. Un : faire connaître les causes profondes de la crise ivoirienne. Deux : faire connaître les handicaps communs et les aspirations partagées. Trois : contribuer ainsi à la réduction des incompréhensions et des ressentiments pour la promotion de l’unité nationale. Comme participants, il a annoncé la société civile, les partis politiques, des centrales syndicales, des organisations des jeunes, des intellectuels…Au cours de ce colloque, il y aura des travaux en plénière et en atelier pour discuter et adopter des recommandations, a indiqué le conférencier.
Selon lui, un comité scientifique de 7 personnes, présidé par le Pr Hauhouot-Asseypo, a été mis en place pour garantir l’objectivité et la sincérité des débats. Il a précisé que les séances seront présidées par des personnes choisies parmi les participants. « 7 sous commissions ont été constituées pour prendre en charge différentes dimensions de la crise ivoirienne, à savoir le foncier, la citoyenneté et la démocratie, la communication, le genre, la justice et la sécurité, l’éducation, la formation et la jeunesse, la pauvreté », a indiqué Sery Bailly. « Quelques enquêtes de terrain ont été effectuées en proportion des moyens disponibles afin de tenir compte des perceptions de nos compatriotes. Un séminaire d’écoute a été organisé afin d’entendre nos compatriotes sur les sujets qui les préoccupent et constituent à leurs yeux, les causes profondes de la crise ivoirienne », a souligné l’ex-ministre de l’Enseignement supérieur sous Laurent Gbagbo.
SYLLA A.
« Des diagnostics ont assurément été faits avant l’avènement de la Cdvr. Il conviendra de les reprendre afin de mieux comprendre et fortifier notre conviction », a expliqué le Pr Sery Bailly. Il a énoncé trois objectifs généraux recherchés à travers l’organisation d’une telle rencontre. Un : faire connaître les causes profondes de la crise ivoirienne. Deux : faire connaître les handicaps communs et les aspirations partagées. Trois : contribuer ainsi à la réduction des incompréhensions et des ressentiments pour la promotion de l’unité nationale. Comme participants, il a annoncé la société civile, les partis politiques, des centrales syndicales, des organisations des jeunes, des intellectuels…Au cours de ce colloque, il y aura des travaux en plénière et en atelier pour discuter et adopter des recommandations, a indiqué le conférencier.
Selon lui, un comité scientifique de 7 personnes, présidé par le Pr Hauhouot-Asseypo, a été mis en place pour garantir l’objectivité et la sincérité des débats. Il a précisé que les séances seront présidées par des personnes choisies parmi les participants. « 7 sous commissions ont été constituées pour prendre en charge différentes dimensions de la crise ivoirienne, à savoir le foncier, la citoyenneté et la démocratie, la communication, le genre, la justice et la sécurité, l’éducation, la formation et la jeunesse, la pauvreté », a indiqué Sery Bailly. « Quelques enquêtes de terrain ont été effectuées en proportion des moyens disponibles afin de tenir compte des perceptions de nos compatriotes. Un séminaire d’écoute a été organisé afin d’entendre nos compatriotes sur les sujets qui les préoccupent et constituent à leurs yeux, les causes profondes de la crise ivoirienne », a souligné l’ex-ministre de l’Enseignement supérieur sous Laurent Gbagbo.
SYLLA A.