Bouaké - La coordonnateur de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire, (FESCI) dans les grandes écoles des zones centre et nord, Atsain Pacôme, a déclaré samedi que sa fédération est désormais inscrite dans le "départ nouveau" et entend œuvrer sous le triptyque ''critiquer, proposer et bâtir'' pour améliorer les conditions de vie des élèves et étudiants.
''Nous nous inscrivons dans la charte de la non-violence et nous engageons dans le départ nouveau qui a commencé dans toutes les Universités'' a déclaré Atsain Pacôme, samedi, lors d'un point de presse tenu au restaurant de l'Université Alassane Ouattara de Bouaké.
Il a fait savoir que le mot violence est désormais banni du langage et dans le comportement des membres de sa fédération, et qu'il n'y a plus d'animosité entre la Fesci et les associations-sœurs.
Atsain Pacôme a aussi déploré que malgré l'esprit de pacification qui prevaut à la Fesci celle-ci soit interdite de mener ses activités sur le campus.
Il a informé de ce qu'une assemblée générale de la Fesci, prévue le même jour (samedi) a été interdite, bien que les autorités universitaires et de la police aient été informées depuis deux semaines et aient donné leur accord, a-t-il dit
''Et pourtant d'autres associations sont autorisées, ce jour, à tenir leurs assemblées ici au campus. Il ne faut pas que la Fesci soit traitée de la sorte, et que son engagement pacifique ne soit négligé'' a déclaré, pour sa part, le coordonnateur centre nord de la Fesci dans les Universités publiques, Traoré San Gaêl.
Les responsables locaux qui tiennent à donner une nouvelle image de la Fesci disent respecter la décision de l'autorité universitaire et souhaitent que les conditions de vie et d'études de leurs camarades soient améliorées.
''Notre assemblée avait justement pour objectif de calmer les étudiants qui connaissent des difficultés académiques, de logement, et faire des propositions aux responsables universitaires pour la bonne marche de notre institution'' a fait savoir Traoré Gaêl.
nam/kkp/tm
''Nous nous inscrivons dans la charte de la non-violence et nous engageons dans le départ nouveau qui a commencé dans toutes les Universités'' a déclaré Atsain Pacôme, samedi, lors d'un point de presse tenu au restaurant de l'Université Alassane Ouattara de Bouaké.
Il a fait savoir que le mot violence est désormais banni du langage et dans le comportement des membres de sa fédération, et qu'il n'y a plus d'animosité entre la Fesci et les associations-sœurs.
Atsain Pacôme a aussi déploré que malgré l'esprit de pacification qui prevaut à la Fesci celle-ci soit interdite de mener ses activités sur le campus.
Il a informé de ce qu'une assemblée générale de la Fesci, prévue le même jour (samedi) a été interdite, bien que les autorités universitaires et de la police aient été informées depuis deux semaines et aient donné leur accord, a-t-il dit
''Et pourtant d'autres associations sont autorisées, ce jour, à tenir leurs assemblées ici au campus. Il ne faut pas que la Fesci soit traitée de la sorte, et que son engagement pacifique ne soit négligé'' a déclaré, pour sa part, le coordonnateur centre nord de la Fesci dans les Universités publiques, Traoré San Gaêl.
Les responsables locaux qui tiennent à donner une nouvelle image de la Fesci disent respecter la décision de l'autorité universitaire et souhaitent que les conditions de vie et d'études de leurs camarades soient améliorées.
''Notre assemblée avait justement pour objectif de calmer les étudiants qui connaissent des difficultés académiques, de logement, et faire des propositions aux responsables universitaires pour la bonne marche de notre institution'' a fait savoir Traoré Gaêl.
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