La direction générale des Douanes organise depuis le lundi 15 juillet jusqu’au vendredi 19 juillet 2013 à N’Sah Hôtel, un séminaire sur l’actualisation du code des douanes et la validation du guide de procédure des contrôles après dédouanement. Plus de 50 ans après l’adoption du code des douanes ivoiriennes, les autorités douanières veulent le dépoussiérer afin de l’adapter au nouveau contexte régional et mondial.
« Notre code des douanes, vieux d’une cinquantaine d’années, a fait son temps et n’épouse plus nécessairement les réalités du monde actuel », a indiqué le colonel Da Pierre, président du comité d’organisation à l’ouverture hier lundi pour justifier l’organisation dudit séminaire. Selon lui, le processus d’actualisation de ce code des douanes a été rendu nécessaire dans le cadre du renforcement de la gouvernance économique, financière et administrative, et par l’adoption du Règlement N° 09/2001/CM/UEMOA portant code des douanes de l’UEMOA (Livre I), qui visait notamment à adapter les textes nationaux aux normes communautaires en matière douanière. C’est aussi une diligence dictée à la fois par les exigences des réformes en douanes, les recommandations des partenaires au développement et celles du Programme gouvernemental de travail (PGT) et du Programme national de développement (PND). Quant au colonel-major Issa Coulibaly, Directeur général des douanes, il a souligné que par la mise en œuvre de son programme de modernisation initié depuis 2001, l’Administration des Douanes ivoiriennes a pris un double pari : celui d’une part, de se conformer aux obligations découlant de l’appartenance de la Côte d’Ivoire aux organisations sous régionales et internationales (UEMOA, CEDEAO, OMD, OMC); et d’autre part celui d’adapter ses moyens d’action aux mutations du commerce international caractérisé aujourd’hui par l’exigence de la facilitation des échanges et la sécurisation de la chaine logistique. «Pour faire face à ces défis, les Douanes ivoiriennes ont non seulement l’obligation mais aussi et surtout le devoir de conférer une base juridique solide à toutes les procédures qui fondent l’action des services ainsi qu’à toutes les initiatives dans le cadre de ce programme de modernisation», a indiqué le Dg des Douanes. Aux séminaristes, il a demandé de proposer des instruments modernes, efficaces, qui apportent des réponses aux préoccupations de l’organisation mondiale des douanes et à celle de l’OMC.
Olivier Guédé
« Notre code des douanes, vieux d’une cinquantaine d’années, a fait son temps et n’épouse plus nécessairement les réalités du monde actuel », a indiqué le colonel Da Pierre, président du comité d’organisation à l’ouverture hier lundi pour justifier l’organisation dudit séminaire. Selon lui, le processus d’actualisation de ce code des douanes a été rendu nécessaire dans le cadre du renforcement de la gouvernance économique, financière et administrative, et par l’adoption du Règlement N° 09/2001/CM/UEMOA portant code des douanes de l’UEMOA (Livre I), qui visait notamment à adapter les textes nationaux aux normes communautaires en matière douanière. C’est aussi une diligence dictée à la fois par les exigences des réformes en douanes, les recommandations des partenaires au développement et celles du Programme gouvernemental de travail (PGT) et du Programme national de développement (PND). Quant au colonel-major Issa Coulibaly, Directeur général des douanes, il a souligné que par la mise en œuvre de son programme de modernisation initié depuis 2001, l’Administration des Douanes ivoiriennes a pris un double pari : celui d’une part, de se conformer aux obligations découlant de l’appartenance de la Côte d’Ivoire aux organisations sous régionales et internationales (UEMOA, CEDEAO, OMD, OMC); et d’autre part celui d’adapter ses moyens d’action aux mutations du commerce international caractérisé aujourd’hui par l’exigence de la facilitation des échanges et la sécurisation de la chaine logistique. «Pour faire face à ces défis, les Douanes ivoiriennes ont non seulement l’obligation mais aussi et surtout le devoir de conférer une base juridique solide à toutes les procédures qui fondent l’action des services ainsi qu’à toutes les initiatives dans le cadre de ce programme de modernisation», a indiqué le Dg des Douanes. Aux séminaristes, il a demandé de proposer des instruments modernes, efficaces, qui apportent des réponses aux préoccupations de l’organisation mondiale des douanes et à celle de l’OMC.
Olivier Guédé