Abidjan, Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafory Soro, a été désigné par le secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, pour conduire une mission d’information et de contacts de l’organisation internationale au Caire, en Egypte.
Selon un communiqué de presse de l’OIF dont l’AIP a reçu copie, cette mission composée de hautes personnalités francophones séjournera au bord du Nil, du 16 au 20 juillet, en vue de prendre contact avec les autorités, les acteurs politiques, des représentants des communautés religieuses et de la société civile égyptiens, ainsi qu’avec les partenaires internationaux présents sur place.
"L’objectif de cette mission est de recueillir les informations pertinentes pour le secrétaire général et les instances de la Francophonie, suite aux évènements survenus en Egypte le 3 juillet dernier", souligne le communiqué.
Le secrétaire général de la Francophonie qui suit "avec la plus grande attention la situation en Egypte", a appelé, dès le 4 juillet déjà, conformément aux dispositions pertinentes de la Déclaration de Bamako, l’ensemble des acteurs à la retenue et au calme, ainsi qu’à la résolution de la crise de manière pacifique, inclusive et respectueuse des principes démocratiques ainsi que des droits et des libertés de tous les Egyptiens.
Selon un communiqué de presse de l’OIF dont l’AIP a reçu copie, cette mission composée de hautes personnalités francophones séjournera au bord du Nil, du 16 au 20 juillet, en vue de prendre contact avec les autorités, les acteurs politiques, des représentants des communautés religieuses et de la société civile égyptiens, ainsi qu’avec les partenaires internationaux présents sur place.
"L’objectif de cette mission est de recueillir les informations pertinentes pour le secrétaire général et les instances de la Francophonie, suite aux évènements survenus en Egypte le 3 juillet dernier", souligne le communiqué.
Le secrétaire général de la Francophonie qui suit "avec la plus grande attention la situation en Egypte", a appelé, dès le 4 juillet déjà, conformément aux dispositions pertinentes de la Déclaration de Bamako, l’ensemble des acteurs à la retenue et au calme, ainsi qu’à la résolution de la crise de manière pacifique, inclusive et respectueuse des principes démocratiques ainsi que des droits et des libertés de tous les Egyptiens.
