En marge des assises de la 39ème session de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF), le ministre de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, Anne Désirée Ouloto a reçu vendredi dernier, le réseau des femmes parlementaires de la Francophonie. La rencontre a eu pour cadre l’Ecole nationale de statistique et économie appliquée, sise à l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody. L’occasion pour le ministre Anne Ouloto d’évoquer avec ces élues, la situation de la femme en Côte d’Ivoire. Les ivoiriennes, a-t-elle expliqué à ses hôtes, se retrouvent dans le commerce.
« C’est dans ce secteur qu’elles excellent », a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a déclaré que les femmes seront à la base de l’émergence de la Côte d’Ivoire et que le gouvernement fait de l’amélioration des conditions des femmes, une priorité. En témoigne la loi sur les mutilations génitales féminines et la loi sur le mariage qui fait de l’homme et de la femme les chefs de familles. Malgré ces avancées, les femmes, a-t-elle déploré, demeurent sous représentées dans les instances de décision, notamment aux postes électifs. « Nous avons demandé au ministre de la Fonction publique de dresser un fichier des femmes de la Fonction publique, afin que des femmes soient nommées. L’autre défi est de faire en sorte qu’il y ait plus de femmes élues », a-t-elle révélé. La présidente du réseau des femmes parlementaires de la Francophonie, Mme Françoise Bertieux, a félicité la Côte d’Ivoire pour l’organisation de cette 39ème session de l’APF, qui coïncide avec les 10 ans du réseau. Expliquant que le réseau a une mission de suivi et d’évaluation. Les activités organisées ont pour thèmes : les violences exercées sur les femmes et le bien être des femmes.
Dao Maïmouna
« C’est dans ce secteur qu’elles excellent », a-t-elle indiqué. Poursuivant, elle a déclaré que les femmes seront à la base de l’émergence de la Côte d’Ivoire et que le gouvernement fait de l’amélioration des conditions des femmes, une priorité. En témoigne la loi sur les mutilations génitales féminines et la loi sur le mariage qui fait de l’homme et de la femme les chefs de familles. Malgré ces avancées, les femmes, a-t-elle déploré, demeurent sous représentées dans les instances de décision, notamment aux postes électifs. « Nous avons demandé au ministre de la Fonction publique de dresser un fichier des femmes de la Fonction publique, afin que des femmes soient nommées. L’autre défi est de faire en sorte qu’il y ait plus de femmes élues », a-t-elle révélé. La présidente du réseau des femmes parlementaires de la Francophonie, Mme Françoise Bertieux, a félicité la Côte d’Ivoire pour l’organisation de cette 39ème session de l’APF, qui coïncide avec les 10 ans du réseau. Expliquant que le réseau a une mission de suivi et d’évaluation. Les activités organisées ont pour thèmes : les violences exercées sur les femmes et le bien être des femmes.
Dao Maïmouna