Deux semaines après les 7è Jeux de la Francophonie à Nice en France, une mission du Comité international (CIJF) séjourne à Abidjan où se tient depuis le 30 septembre, à l’Hôtel du District du Plateau, un atelier dont l’objectif est l’élaboration d’un projet de cahier de charges – à soumettre au conseil d’orientation du CIJF – pour les 8è Jeux prévu en Côte d’Ivoire en 2017. Cette rencontre d’Abidjan qui se tient sur quatre (4) jours sous la forme d’un atelier, définira un calendrier et une feuille de route CIJF / CNJF – Comté national des Jeux de la Francophonie.
La mission est conduite par le directeur du CIJF, Mahaman-Lawan Seriba qui a salué «l’excellent parcours» de la Côte d’Ivoire aux récents jeux de Nice. Pour les «grands chantiers» à tracer pour 2017, il ne doute pas que la Côte d’Ivoire se dote de tous les atouts pour réussir les prochains jeux en terre ivoirienne. Aussi a-t-il réitéré le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) «pour le succès de cet événement très attendu dans l’espace de la francophonie».
Représentant à l’ouverture le ministre de la Culture et de la Francophonie, Koffi Kossonou Paul-Marie a soutenu que la préparation des Jeux se fait «avec méthode, passion et compétence».
Pour lui, les prochains Jeux de la Francophonie à Abidjan sont un indicateur majeur dans la réalisation des ambitions du chef de l’Etat ivoirien. C’est-à-dire «faire d’Abidjan, en l’espace de deux semaines, la capitale de la Francophonie ; gagner le pari de voir converger en Côte d’Ivoire un peu plus de 3000 jeunes (…)», a expliqué Koffi Kossonou Paul-Marie.
Sur le contenu du cahier des charges, Epiphane Zoro à la tête du CNJF fait savoir qu’il comprendra les aspects opérationnels, budgétaires de même que la programmation jusqu’en 2017 des différentes séquences qui sont «nécessaires» à une bonne organisation.
Selon Epiphane Zoro, ces jeux qui se construisent autour des valeurs de diversité, de renforcement de la cohésion sociale, de promotion de l’excellence, il «s’agira de faire en sorte que toutes les couches de la population y soient réunies». «Nous aurons à relever, rassure-t-il, plusieurs défis dont celui de faire des jeux un événement participatif».
Le premier jour, les travaux ont porté sur les «Objectifs statutaires et principales orientations» renfermant les trois (3) premiers chapitres du cahier des charges. Les chapitres IV et VI ont été au centre des échanges [deuxième jour] pour définir les dates et sites, la programmation officielle et la disposition protocole.
Les chapitres VII et IX s’ouvrent aujourd’hui sur le «dispositif organisationnel, partenariat et communication». Ce qui implique le volet administratif, les secteurs organisationnels, le marketing et la communication, etc. D’où la présence de Thomas Gil, le responsable des partenariats, marketing et communication au CIJF.
C’est en mars 2013, lors de la 87è session du Conseil Permanent de la Francophonie à Paris, que le choix s’est porté sur la Côte d’Ivoire pour accueillir les jeux en 2017. Un événement qui s’inscrit dans la vision de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Koné Saydoo
La mission est conduite par le directeur du CIJF, Mahaman-Lawan Seriba qui a salué «l’excellent parcours» de la Côte d’Ivoire aux récents jeux de Nice. Pour les «grands chantiers» à tracer pour 2017, il ne doute pas que la Côte d’Ivoire se dote de tous les atouts pour réussir les prochains jeux en terre ivoirienne. Aussi a-t-il réitéré le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) «pour le succès de cet événement très attendu dans l’espace de la francophonie».
Représentant à l’ouverture le ministre de la Culture et de la Francophonie, Koffi Kossonou Paul-Marie a soutenu que la préparation des Jeux se fait «avec méthode, passion et compétence».
Pour lui, les prochains Jeux de la Francophonie à Abidjan sont un indicateur majeur dans la réalisation des ambitions du chef de l’Etat ivoirien. C’est-à-dire «faire d’Abidjan, en l’espace de deux semaines, la capitale de la Francophonie ; gagner le pari de voir converger en Côte d’Ivoire un peu plus de 3000 jeunes (…)», a expliqué Koffi Kossonou Paul-Marie.
Sur le contenu du cahier des charges, Epiphane Zoro à la tête du CNJF fait savoir qu’il comprendra les aspects opérationnels, budgétaires de même que la programmation jusqu’en 2017 des différentes séquences qui sont «nécessaires» à une bonne organisation.
Selon Epiphane Zoro, ces jeux qui se construisent autour des valeurs de diversité, de renforcement de la cohésion sociale, de promotion de l’excellence, il «s’agira de faire en sorte que toutes les couches de la population y soient réunies». «Nous aurons à relever, rassure-t-il, plusieurs défis dont celui de faire des jeux un événement participatif».
Le premier jour, les travaux ont porté sur les «Objectifs statutaires et principales orientations» renfermant les trois (3) premiers chapitres du cahier des charges. Les chapitres IV et VI ont été au centre des échanges [deuxième jour] pour définir les dates et sites, la programmation officielle et la disposition protocole.
Les chapitres VII et IX s’ouvrent aujourd’hui sur le «dispositif organisationnel, partenariat et communication». Ce qui implique le volet administratif, les secteurs organisationnels, le marketing et la communication, etc. D’où la présence de Thomas Gil, le responsable des partenariats, marketing et communication au CIJF.
C’est en mars 2013, lors de la 87è session du Conseil Permanent de la Francophonie à Paris, que le choix s’est porté sur la Côte d’Ivoire pour accueillir les jeux en 2017. Un événement qui s’inscrit dans la vision de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
Koné Saydoo