Ferkessédougou - A quelques jours des élections régionales partielles, prévues dans la région du Tchologo, des résidents ont exprimé leurs attentes à l'AIP, appelant le nouveau Conseil régional à accroître le nombre d'infrastructures socio-éducatives, et réhabilitant celles qui existent.
Pour M. Ouattara Drissa, instituteur de son état, le conseil régional devra, dans un premier temps, augmenter le nombre d’infrastructures socio-éducatives et réhabiliter celles qui existent. Il souhaite, par ailleurs, qu’il s’attaque à la question du chômage des jeunes,et estime qu’ils sont de plus en plus nombreux et désœuvrés, et que "Cela est possible", à travers la création de "projets de développement", a-t-il soutenu.
Sur le plan agricole, M. Ouattara, qui rappelle l’importance de l’économie agricole dans la région, propose que le prochain Conseil régional procède au reprofilage des routes et des pistes villageoises afin de faciliter l’évacuation des produits des paysans. Il attend également du Conseil régional des mécanismes facilitant l’achat des intrants agricoles par les paysans, ainsi que la mise en place de structures de financement de leurs activités.
Pour une meilleure prise en charge sanitaire de la population, il souhaite l’érection de l’hôpital général en Centre hospitalier régional (Chr), avec un plateau technique digne de ce nom. Le Conseil général devra également s’attaquer aux récurrents problèmes de coupures d’eau et d’électricité dans la région. « Il faut que Ferké soit au même niveau que les autres régions», a-t-il conclu.
Quant à M. Coulibaly Siriki, acteur de la filière mangue, il estime que le Conseil régional devra soutenir les activités des acteurs de cette filière, assurant que la filière mangue peut aider à éradiquer la pauvreté dans la région. «Tout comme le coton, la mangue permettra d’éradiquer la paupérisation, si elle est soutenue par une politique franche, comme c’est le cas pour le café et le cacao », assure celui-ci.
Yéo Dramane, opérateur économique, insiste surtout sur l'exigence pour le Conseil régional de lutter contre la cherté de la vie, au plan local. « Nous avons besoin que le président qui sera élu lutte pour que nos produits (agricoles, ndlr) soit achetés à des prix acceptables », renchérit Ouattara Soungalo, producteur de coton à Tiégbé, près de Ferké.
« Pour la jeunesse, il faut impérativement que le Conseil régional accélère la construction du port sec », insiste dans le même ordre d’idée, Ouattara Solo, 28 ans. L’élection qui devrait désigner le président du Conseil régional de Ferkessédougou est prévue dimanche. Deux candidats sont en lice. Il s’agit de Koné Lacina (Rdr) et de Ouattara Yaya (indépendant), rappelle-t-on.
Pour M. Ouattara Drissa, instituteur de son état, le conseil régional devra, dans un premier temps, augmenter le nombre d’infrastructures socio-éducatives et réhabiliter celles qui existent. Il souhaite, par ailleurs, qu’il s’attaque à la question du chômage des jeunes,et estime qu’ils sont de plus en plus nombreux et désœuvrés, et que "Cela est possible", à travers la création de "projets de développement", a-t-il soutenu.
Sur le plan agricole, M. Ouattara, qui rappelle l’importance de l’économie agricole dans la région, propose que le prochain Conseil régional procède au reprofilage des routes et des pistes villageoises afin de faciliter l’évacuation des produits des paysans. Il attend également du Conseil régional des mécanismes facilitant l’achat des intrants agricoles par les paysans, ainsi que la mise en place de structures de financement de leurs activités.
Pour une meilleure prise en charge sanitaire de la population, il souhaite l’érection de l’hôpital général en Centre hospitalier régional (Chr), avec un plateau technique digne de ce nom. Le Conseil général devra également s’attaquer aux récurrents problèmes de coupures d’eau et d’électricité dans la région. « Il faut que Ferké soit au même niveau que les autres régions», a-t-il conclu.
Quant à M. Coulibaly Siriki, acteur de la filière mangue, il estime que le Conseil régional devra soutenir les activités des acteurs de cette filière, assurant que la filière mangue peut aider à éradiquer la pauvreté dans la région. «Tout comme le coton, la mangue permettra d’éradiquer la paupérisation, si elle est soutenue par une politique franche, comme c’est le cas pour le café et le cacao », assure celui-ci.
Yéo Dramane, opérateur économique, insiste surtout sur l'exigence pour le Conseil régional de lutter contre la cherté de la vie, au plan local. « Nous avons besoin que le président qui sera élu lutte pour que nos produits (agricoles, ndlr) soit achetés à des prix acceptables », renchérit Ouattara Soungalo, producteur de coton à Tiégbé, près de Ferké.
« Pour la jeunesse, il faut impérativement que le Conseil régional accélère la construction du port sec », insiste dans le même ordre d’idée, Ouattara Solo, 28 ans. L’élection qui devrait désigner le président du Conseil régional de Ferkessédougou est prévue dimanche. Deux candidats sont en lice. Il s’agit de Koné Lacina (Rdr) et de Ouattara Yaya (indépendant), rappelle-t-on.
