La Fédération ivoirienne de handall a enfin son nouveau président. Il s’agit du président sortant Ouéréga Joseph réélu à l’issue de l’Assemblée générale élective tenue hier au siège du Cno-ci. Sur les 58 clubs attendus, ce sont 41 qui ont répondu présents à l’appel du comité d’organisation de cette Age. Tous les clubs présents se sont donc exprimés en faveur du président sortant Ouéréga Joseph. Ainsi, 74 voix contre zéro abstention.
Le fait marquant à ce rendez-vous est l’absence des autres candidats. Ce qui, en réalité, n’a pas été un obstacle au bon déroulement de cette assemblée puisque ces candidats, eux-mêmes, n’étaient des électeurs. Il s’agit de Berthé Abdalah, Ouattara Brahima et Amany Kouamé. L’élection du président sortant, Ouéréga Joseph, va-t-elle mettre un terme à la crise qui secoue la famille du handball ivoirien ? S’il est tôt de répondre à cette interrogation, il faut cependant dire que cette assemblée générale bénéficie de l’onction du comité national olympique et de l’Acnoa dont le président, le Gl Lassana Palenfo, s’est vu confier la supervision par le ministère de tutelle. D’ailleurs, aussitôt après son élection, le président Ouéréga Joseph a fait un appel à l’union dans l’intérêt du handball. «Soyons des messagers de paix et de discipline. Sachons pardonner. Mais aussi, ayons l’humilité de demander pardon à nos frères et sœurs. Ensemble, unissons nos forces pour porter le handball ivoirien vers des sommets glorieux. Si vous voulons une discipline qui gagne, il nous faut nous réconcilier». Notons que le scrutin s’est déroulé sous les regards bienveillantes de Me Marcel Dompé, huissier commis au contrôle, de Mme Bouédji Kouassi, représentante de la Confédération africaine de handball (CAHB) et de la Fédération internationale de handball (IFH), et de Me Coulibaly Siaka Minaya, président du comité ad-hoc, en charge des élections. Pr Alain Ekra, vice-président du Comité national olympique de Côte d’Ivoire, était également présent.
De Bouaffo
Le fait marquant à ce rendez-vous est l’absence des autres candidats. Ce qui, en réalité, n’a pas été un obstacle au bon déroulement de cette assemblée puisque ces candidats, eux-mêmes, n’étaient des électeurs. Il s’agit de Berthé Abdalah, Ouattara Brahima et Amany Kouamé. L’élection du président sortant, Ouéréga Joseph, va-t-elle mettre un terme à la crise qui secoue la famille du handball ivoirien ? S’il est tôt de répondre à cette interrogation, il faut cependant dire que cette assemblée générale bénéficie de l’onction du comité national olympique et de l’Acnoa dont le président, le Gl Lassana Palenfo, s’est vu confier la supervision par le ministère de tutelle. D’ailleurs, aussitôt après son élection, le président Ouéréga Joseph a fait un appel à l’union dans l’intérêt du handball. «Soyons des messagers de paix et de discipline. Sachons pardonner. Mais aussi, ayons l’humilité de demander pardon à nos frères et sœurs. Ensemble, unissons nos forces pour porter le handball ivoirien vers des sommets glorieux. Si vous voulons une discipline qui gagne, il nous faut nous réconcilier». Notons que le scrutin s’est déroulé sous les regards bienveillantes de Me Marcel Dompé, huissier commis au contrôle, de Mme Bouédji Kouassi, représentante de la Confédération africaine de handball (CAHB) et de la Fédération internationale de handball (IFH), et de Me Coulibaly Siaka Minaya, président du comité ad-hoc, en charge des élections. Pr Alain Ekra, vice-président du Comité national olympique de Côte d’Ivoire, était également présent.
De Bouaffo
