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Politique Publié le lundi 22 juillet 2013 | Le Patriote

Régionales partielles du Tchologo / Tout s’est déroulé dans le calme

© Le Patriote Par DR
Elections locales partielles: le Président de la CEI sur le terrain
Dimanche 21 juillet 2013. Abidjan. M. Youssouf Bakayoko, Président de la CEI a effectué une visite de terrain dans la circonscription d’Anyama. Accompagné du Préfet de Région et madame la Sous-préfet d’Anyama.
La Région du Tchologo était à nouveau aux urnes hier dimanche 21 juillet 2013. Après l’invalidation des élections pour la présidence du Conseil régional du Tchologo du 21 avril dernier, par la Chambre administrative de la Cour Suprême, le candidat du RDR, Koné Lassina Cardosi et le candidat indépendant Ouattara Yaya Tiékoura Georges sont appelés à mesurer à nouveau leur popularité auprès des populations, à travers les élections partielles organisées par la Commission Electorale Indépendante (CEI). A 7 h, les bureaux de vote étaient ouverts aux électeurs. Jusqu’à la mi-journée, le constat s’imposait. Ce dimanche, il n’y a pas eu d’affluence particulière dans les centres de vote. Des électeurs, redoutaient-ils, la violence qui a sanctionné les élections du 21 avril ? Ou alors, le manque d’engouement qui avait prévalu lors de ce qu’on peut appeler le premier tour persiste. En effet, c’est connu, les élections locales ne font pas bouger les foules en Côte d’Ivoire. Notamment dans les villes.

Toujours est-il qu’il y a un aspect positif au scrutin de ce jour. Le calme et l’ordre qui prévalaient faisaient entrevoir un scrutin plus apaisé que celui du 21 avril. D’ailleurs, la présence des nombreux éléments des forces de sécurité, gendarmes, CRS militaires et autres soldats onusiens était de nature à dissuader le plus déterminé des manifestants.A 17h, l’ensemble des 317 bureaux de vote de la région ont fermé les portes. Et le dépouillement pouvait commencer. Toujours sous l’?il vigilant des forces de sécurité.Toute la semaine de la campagne durant, le préfet n’a eu de cesse d’en appeler à l’esprit démocratique et au calme. Un appel relayé par les candidats eux-mêmes. Personne à Ferké ne veut revivre ce qui s’est produit le 21 avril. Ni les autorités, ni les populations, ni les candidats eux-mêmes. Sur cet aspect au moins, point de contentieux pour savoir qui a raison. Car tous sont d’accord que ces élections doivent très bien se déroulées.

Mack Dakota, Correspondant
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