Daloa - Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont occupé une place importante dans la formation, samedi et dimanche, des conseillers municipaux de Daloa, appelés à renforcer leurs capacités pour mieux tenir leurs rôles dans la gestion communale.
A l’ère de la numérisation où les méthodes traditionnelles résidant dans le choix des hommes ne suffisent plus pour la bonne gouvernance, le Comité national de télédétection et d’information géographique (CNTIG) a proposé aux conseillers municipaux, le projet e-commune qui est un outil d’aide à la décision et à la gestion.
Selon M. Balé Fernand, directeur cartographe et des Services professionnels au CNTIG, la solution e-commune est une innovation technologique robuste et sécurisée pour une gestion efficiente des communes. C’est une application, a-t-il dit, qui permet de planifier le développement des communes dans l’équité et la bonne gouvernance.
En clair, cette application fournit aux responsables communaux des outils pour faciliter la mobilisation des ressources et mieux ordonner les dépenses.
Structure étatique dépendant de la Présidence de la République, le CNTIG travaille dans les domaines des systèmes d’information géographique, du traitement d’images satellites, dans le développement d’application pour la prise de décisions en matière d’environnement, de cadastre, de transport, de collectivités locales et de bien d’autres thématiques.
A ce titre, il répond aussi bien aux préoccupations de développement au niveau local qu’au niveau national.
Dans cet ordre, la structure comprend plusieurs modules qui répondent à des besoins spécifiques, notamment le module de planification et développement local qui permet donc à la commune de connaître l’état du territoire, le niveau de couverture en centres de santé, en écoles, le niveau de voirie bitumée, le niveau de la population, de son âge…
Et à partir de ces données, les autorités municipales peuvent, selon M. Balé, faire face aux attentes des populations et pouvoir projeter le développement dans le futur.
Créé en 1992, le CNTIG est au service de l’Etat de Côte d’Ivoire et travaille actuellement avec une vingtaine de communes dans le cadre de la politique de décentralisation du gouvernement.
A l’ère de la numérisation où les méthodes traditionnelles résidant dans le choix des hommes ne suffisent plus pour la bonne gouvernance, le Comité national de télédétection et d’information géographique (CNTIG) a proposé aux conseillers municipaux, le projet e-commune qui est un outil d’aide à la décision et à la gestion.
Selon M. Balé Fernand, directeur cartographe et des Services professionnels au CNTIG, la solution e-commune est une innovation technologique robuste et sécurisée pour une gestion efficiente des communes. C’est une application, a-t-il dit, qui permet de planifier le développement des communes dans l’équité et la bonne gouvernance.
En clair, cette application fournit aux responsables communaux des outils pour faciliter la mobilisation des ressources et mieux ordonner les dépenses.
Structure étatique dépendant de la Présidence de la République, le CNTIG travaille dans les domaines des systèmes d’information géographique, du traitement d’images satellites, dans le développement d’application pour la prise de décisions en matière d’environnement, de cadastre, de transport, de collectivités locales et de bien d’autres thématiques.
A ce titre, il répond aussi bien aux préoccupations de développement au niveau local qu’au niveau national.
Dans cet ordre, la structure comprend plusieurs modules qui répondent à des besoins spécifiques, notamment le module de planification et développement local qui permet donc à la commune de connaître l’état du territoire, le niveau de couverture en centres de santé, en écoles, le niveau de voirie bitumée, le niveau de la population, de son âge…
Et à partir de ces données, les autorités municipales peuvent, selon M. Balé, faire face aux attentes des populations et pouvoir projeter le développement dans le futur.
Créé en 1992, le CNTIG est au service de l’Etat de Côte d’Ivoire et travaille actuellement avec une vingtaine de communes dans le cadre de la politique de décentralisation du gouvernement.