La Commission Nationale de Lutte contre la Prolifération et la Circulation Illicite des Armes Légères et de Petit Calibre (ComNat-ALPC) a organisé à l’Hôtel ETOILE DU SUD sis à Grand Bassam, du 11 au 13 juillet 2013, un atelier de validation du manuel de procédure de gestion de l’Observatoire sur la Violence Armée (OVA).
Cet atelier, qui a bénéficié de l’appui financier du Japon à travers le PNUD, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’actions national 2012-2014 de la ComNat-ALPC et vise à renforcer les capacités opérationnelles et la pérennisation du dispositif en pleine phase d’extension.
Présidé par le Ministère d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, représenté à cet effet par M. COULIBALY Hamidou, Conseiller Technique, cet atelier a réuni autour des organisateurs et des structures nationales et internationales, des représentants du Ministère de la santé et de la lutte contre le VIH/sida, du système des Nations Unies, RASALAO, PNUD, Interpol, du Commandement Supérieur de la Gendarmerie Nationale, du Ministère, d’Etat ministère du plan et du développement , INS, CNTIG,RSS, CNS, des observateurs ou points focaux du dispositif et des médias.
Dans le souci de renforcer ses capacités institutionnelles et opérationnelles, la Commission a mis en place l’Observatoire sur la Violence Armée, véritable outil de diagnostic participatif des communautés locales de base en matière de sécurité, de developpement et paix.
Il s’agit d’un outil opérationnel d’aide à la décision en vue d’appuyer et consolider la coordination et l’orientation des interventions dans la lutte contre la prolifération des ALPC et la prévention de la Violence Armée. C’est un système d’alerte et de veille en matière de sécurité communautaire. Il permet une cartographie, voire une véritable photographie de la violence armée dans une aire géographique prédéterminée.
Pour M. Anzian Kouadja Sécretaire Executif Adjoint de la ComNat-ALPC representant le Controleur Général de police DESIRE ADJOUSSOU « le véritable défi est d’operationnaliser cet outil d’aide à la décision sur l’ensemble du térritoire national, ce qui aiderait assurement les autorités dans la planification du déploiement des forces de sécurité ».
A sa suite, Monsieur KOUASSI Lenoir, Conseiller Technique au Secrétariat Exécutif du Conseil National de Sécurité (CNS), a précisé les enjeux d’un tel dispositif qui permet de réduire l’écart entre le chiffre légal, le chiffre apparent et le chiffre réel de la criminalité. Il a marqué l’intérêt du CNS face à un tel outil d’aide à la décision.
Au sortir des échanges et des différents travaux de l’atelier, les recommandations suivantes ont été formulées à l’endroit de la ComNat-ALPC
• Concevoir un logiciel sécurisé et adapté aux spécificités et réalités culturelles en Côte d’Ivoire (la langue notamment) ;
• Continuer le renforcement des capacités opérationnelles des principaux acteurs de l’observatoire (gestionnaire et animateur) en fonction de l’évolution de la criminalité ;
• Etudier la possibilité de collaboration avec la police municipale et les sociétés privées de sécurité au niveau des acteurs de l’observatoire ;
• Etablir un protocole de partenariat avec le CNTIG dans le but d’harmoniser les codifications des localités ;
Le manuel du gestionnaire de l’Observatoire sur la Violence Armée (OVA) a ainsi été validé, il sera édité et diffusé à l’ensemble des structures nationales et internationales participants de l’opérationnalisation de cet important dispositif de veille sécuritaire.
Cet atelier, qui a bénéficié de l’appui financier du Japon à travers le PNUD, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan d’actions national 2012-2014 de la ComNat-ALPC et vise à renforcer les capacités opérationnelles et la pérennisation du dispositif en pleine phase d’extension.
Présidé par le Ministère d’Etat, Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, représenté à cet effet par M. COULIBALY Hamidou, Conseiller Technique, cet atelier a réuni autour des organisateurs et des structures nationales et internationales, des représentants du Ministère de la santé et de la lutte contre le VIH/sida, du système des Nations Unies, RASALAO, PNUD, Interpol, du Commandement Supérieur de la Gendarmerie Nationale, du Ministère, d’Etat ministère du plan et du développement , INS, CNTIG,RSS, CNS, des observateurs ou points focaux du dispositif et des médias.
Dans le souci de renforcer ses capacités institutionnelles et opérationnelles, la Commission a mis en place l’Observatoire sur la Violence Armée, véritable outil de diagnostic participatif des communautés locales de base en matière de sécurité, de developpement et paix.
Il s’agit d’un outil opérationnel d’aide à la décision en vue d’appuyer et consolider la coordination et l’orientation des interventions dans la lutte contre la prolifération des ALPC et la prévention de la Violence Armée. C’est un système d’alerte et de veille en matière de sécurité communautaire. Il permet une cartographie, voire une véritable photographie de la violence armée dans une aire géographique prédéterminée.
Pour M. Anzian Kouadja Sécretaire Executif Adjoint de la ComNat-ALPC representant le Controleur Général de police DESIRE ADJOUSSOU « le véritable défi est d’operationnaliser cet outil d’aide à la décision sur l’ensemble du térritoire national, ce qui aiderait assurement les autorités dans la planification du déploiement des forces de sécurité ».
A sa suite, Monsieur KOUASSI Lenoir, Conseiller Technique au Secrétariat Exécutif du Conseil National de Sécurité (CNS), a précisé les enjeux d’un tel dispositif qui permet de réduire l’écart entre le chiffre légal, le chiffre apparent et le chiffre réel de la criminalité. Il a marqué l’intérêt du CNS face à un tel outil d’aide à la décision.
Au sortir des échanges et des différents travaux de l’atelier, les recommandations suivantes ont été formulées à l’endroit de la ComNat-ALPC
• Concevoir un logiciel sécurisé et adapté aux spécificités et réalités culturelles en Côte d’Ivoire (la langue notamment) ;
• Continuer le renforcement des capacités opérationnelles des principaux acteurs de l’observatoire (gestionnaire et animateur) en fonction de l’évolution de la criminalité ;
• Etudier la possibilité de collaboration avec la police municipale et les sociétés privées de sécurité au niveau des acteurs de l’observatoire ;
• Etablir un protocole de partenariat avec le CNTIG dans le but d’harmoniser les codifications des localités ;
Le manuel du gestionnaire de l’Observatoire sur la Violence Armée (OVA) a ainsi été validé, il sera édité et diffusé à l’ensemble des structures nationales et internationales participants de l’opérationnalisation de cet important dispositif de veille sécuritaire.