«Hommage aux femmes», la nouvelle et troisième signature de 8 titres d’Obou Lazare, frère aîné de l’ancien gardien de but de l’Africa Sport d’Abidjan, de l’Asec Mimosas et des Eléphants footballeurs de Côte d’Ivoire, Obou Macaire, a décidément le parfum d’une œuvre mature que l’artiste a puisée dans son vaste champ d’inspiration du giron du rythme alloukou.
«La femme est synonyme de lumière et de beauté. Elle est une merveilleuse source d’inspiration, en même temps qu’elle demeure une compagne exemplaire. En un mot, la femme est la lumière de l’homme», explique Obou Lazare.
L’adepte de l’alloucou a choisi de transcrire son état d’âme dans la mélodie, comme il en témoigne : «Je dis avec ma voix ce que ma plume ne peut rendre. Voilà pourquoi, je loue mon producteur Alex Gobredi, pour m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer selon mon désir. C’est donc à juste titre que ma chanson «Alex Gobredi» signifie ma reconnaissance à cet homme qui fait la promotion de l’alloukou.
Le morceau «Nadrikpo» est dédié à la grand’mère de l’artiste. «Ma grand’mère Kouyononhon Kouéhiba est morte dans ma tendre enfance. Je ne l’ai pas bien connue, mais je garde tout de même d’elle le souvenir d’une femme adorable».
Sur la même note de tristesse, Obou Lazare cherche désespérément un des siens également fauché par la mort. Sa douleur est tellement vive qu’il s’emploie à le rechercher de jour comme de nuit. L’enfant de Yopohué, village érigé en sous-préfecture, à environ 10 km de Ouragahio, chante presque toutes les péripéties qui marquent le quotidien, notamment la mort, la joie (manifestations festives). Obou Lazare relève en outre les hauts faits des hommes de courage, exalte au travail, à l’harmonie sociale.
Avec ses 8 titres prélevés sur un répertoire riche de plus de 30 compositions, Obou Lazare a réalisé un tube de grande facture.
Obou Lazare s’est révélé aux amateurs d’allocou en 2007. Mais c’est à partir de 2011 qu’il a véritablement fait remarquer son talent. 2013 est sans doute l’année de la confirmation de sa virtuosité. Bon appétit à tous lés férus du rythme alloucou qui continue de faire vibrer toute la région du Fromager ou Goh !
Schadé Adédé
«La femme est synonyme de lumière et de beauté. Elle est une merveilleuse source d’inspiration, en même temps qu’elle demeure une compagne exemplaire. En un mot, la femme est la lumière de l’homme», explique Obou Lazare.
L’adepte de l’alloucou a choisi de transcrire son état d’âme dans la mélodie, comme il en témoigne : «Je dis avec ma voix ce que ma plume ne peut rendre. Voilà pourquoi, je loue mon producteur Alex Gobredi, pour m’avoir donné l’opportunité de m’exprimer selon mon désir. C’est donc à juste titre que ma chanson «Alex Gobredi» signifie ma reconnaissance à cet homme qui fait la promotion de l’alloukou.
Le morceau «Nadrikpo» est dédié à la grand’mère de l’artiste. «Ma grand’mère Kouyononhon Kouéhiba est morte dans ma tendre enfance. Je ne l’ai pas bien connue, mais je garde tout de même d’elle le souvenir d’une femme adorable».
Sur la même note de tristesse, Obou Lazare cherche désespérément un des siens également fauché par la mort. Sa douleur est tellement vive qu’il s’emploie à le rechercher de jour comme de nuit. L’enfant de Yopohué, village érigé en sous-préfecture, à environ 10 km de Ouragahio, chante presque toutes les péripéties qui marquent le quotidien, notamment la mort, la joie (manifestations festives). Obou Lazare relève en outre les hauts faits des hommes de courage, exalte au travail, à l’harmonie sociale.
Avec ses 8 titres prélevés sur un répertoire riche de plus de 30 compositions, Obou Lazare a réalisé un tube de grande facture.
Obou Lazare s’est révélé aux amateurs d’allocou en 2007. Mais c’est à partir de 2011 qu’il a véritablement fait remarquer son talent. 2013 est sans doute l’année de la confirmation de sa virtuosité. Bon appétit à tous lés férus du rythme alloucou qui continue de faire vibrer toute la région du Fromager ou Goh !
Schadé Adédé