Abengourou - Le chef d’état-major particulier du président de la République, le général de Corps d’armée, Michel Gueu, a déclaré, samedi, à Abengourou, lors des festivités de la fin et du baptême de la 41ème promotion BTS de l’Ecole régionale d’Agriculture de l’Est d’Abengourou (ERA-EST), en présence du sous-préfet d’Aniassué, M Topka Soumahoro qu’il est un ambassadeur de la paix.
« Homme de paix qu’est votre humble serviteur, auréolé de quatre titres honorifiques dans l’ordre de la paix…je suis ici, chez moi, sur la terre de ceux qui n’aiment pas les histoires » a dit le général Gueu Michel, en allusion à la ville d’Abengourou, dénommée « N’Penkro » qui veut dire : « Je n’aime pas les histoires, je n’aime pas les palabres ». Il a cependant relevé qu'"il n’aime pas aussi que l’on le provoque ».
Intervenant lors de cette cérémonie, le chef d’état-major particulier du Président de la République, parrain de cette cérémonie qui a félicité ses filleuls pour leur brillant parcours, a rappelé qu’il a obtenu les titres d’ambassadeur de la paix au compte de la fédération ivoirienne de football(Fif).
Il a ajouté qu’il a été fait dignitaire de la paix par le sport pour la fédération Ivoiriennes de football, et obtenu également le prix panafricain ICS (2010-20II) des restaurateurs de la démocratie ; le prix N’Zassa 2011 en reconnaissance des actions fortes à la restauration de la paix et de la solidarité en Côte d’Ivoire ce qui fait de lui, un homme paix.
Il souligne qu’il n’a pas besoin de se faire accompagner à Abengourou avec deux ou trois soldats en Kalachnikov, car il estime qu’autour de lui, il est en famille avec ses frères ivoiriens. « Je n’ai pas besoins d’armada pour m’accompagner, parce que je me sens en famille partout où je me trouve aussi bien en Côte d’Ivoire que partout ailleurs, hors de Côte d’Ivoire. »
A cette fête, le directeur de ERA-EST d’Abengourou, M. Fofana Siaka, qui a fait l’éloge du chef d’état-major particulier du Président Alassane Ouattara a égrené quelques doléances à savoir, l’acquisition d’un terrain de jeux de pratique du basket-ball et du hand-ball, d’une salle informatique, car l’école n’en dispose pas, ainsi que l’électrification de l’axe reliant la résidence de l’évêque à l’ERA-EST, distant de 250 mètres.
La porte-parole des étudiants de l’ERA-EST, Kouakou Tano Affoua Marie-Josée, qui s’est dit préoccupée par leur avenir à la fin de leur formation, a souhaité que le général les aide à trouver des emplois après leur diplôme.
A ces préoccupations, le chef d’état-major du cabinet militaire du chef de l'Etat, le général de corps d'armée, Gueu Michel, a promis transmettre les doléances aux autorités compétentes concernant l’électrification, les terrains de jeux et la salle informatique. Pour les emplois, il a rassuré les étudiants qu’ils auront chacun un poste où ils pourront exercer avec le concours du directeur des ressources humaines du ministère de l’Agriculture.
Ces festivités ont été marquées par une conférence débat, des jeux de divertissements notamment l’awalé, le jeu de dame, scrabble et le lancer cerceau. Une soirée culturelle de théâtre, de ballets, de concours de danse et de karaoké. Des matches de gala entre les policiers et les étudiants de l’ERA-EST, des équipes féminines des étudiantes de l’ERA-EST et des religieuses de l’église catholique ont été appréciés par le public.
Les vainqueurs que sont l’équipe des policiers et des religieuses ont reçu des trophées de la part du chef d’état major. Le général a quant à lui reçu des présents de la part des élèves et du directeur de ERA-EST.
Fondée en 1971, l’école régionale d’agriculture de l’Est (ERA-EST) a pour mission d’étudier, de concevoir et de mettre en œuvre toute action ou projet de formation professionnelle initiale ou continue en agriculture, rappelle-t-on.
« Homme de paix qu’est votre humble serviteur, auréolé de quatre titres honorifiques dans l’ordre de la paix…je suis ici, chez moi, sur la terre de ceux qui n’aiment pas les histoires » a dit le général Gueu Michel, en allusion à la ville d’Abengourou, dénommée « N’Penkro » qui veut dire : « Je n’aime pas les histoires, je n’aime pas les palabres ». Il a cependant relevé qu'"il n’aime pas aussi que l’on le provoque ».
Intervenant lors de cette cérémonie, le chef d’état-major particulier du Président de la République, parrain de cette cérémonie qui a félicité ses filleuls pour leur brillant parcours, a rappelé qu’il a obtenu les titres d’ambassadeur de la paix au compte de la fédération ivoirienne de football(Fif).
Il a ajouté qu’il a été fait dignitaire de la paix par le sport pour la fédération Ivoiriennes de football, et obtenu également le prix panafricain ICS (2010-20II) des restaurateurs de la démocratie ; le prix N’Zassa 2011 en reconnaissance des actions fortes à la restauration de la paix et de la solidarité en Côte d’Ivoire ce qui fait de lui, un homme paix.
Il souligne qu’il n’a pas besoin de se faire accompagner à Abengourou avec deux ou trois soldats en Kalachnikov, car il estime qu’autour de lui, il est en famille avec ses frères ivoiriens. « Je n’ai pas besoins d’armada pour m’accompagner, parce que je me sens en famille partout où je me trouve aussi bien en Côte d’Ivoire que partout ailleurs, hors de Côte d’Ivoire. »
A cette fête, le directeur de ERA-EST d’Abengourou, M. Fofana Siaka, qui a fait l’éloge du chef d’état-major particulier du Président Alassane Ouattara a égrené quelques doléances à savoir, l’acquisition d’un terrain de jeux de pratique du basket-ball et du hand-ball, d’une salle informatique, car l’école n’en dispose pas, ainsi que l’électrification de l’axe reliant la résidence de l’évêque à l’ERA-EST, distant de 250 mètres.
La porte-parole des étudiants de l’ERA-EST, Kouakou Tano Affoua Marie-Josée, qui s’est dit préoccupée par leur avenir à la fin de leur formation, a souhaité que le général les aide à trouver des emplois après leur diplôme.
A ces préoccupations, le chef d’état-major du cabinet militaire du chef de l'Etat, le général de corps d'armée, Gueu Michel, a promis transmettre les doléances aux autorités compétentes concernant l’électrification, les terrains de jeux et la salle informatique. Pour les emplois, il a rassuré les étudiants qu’ils auront chacun un poste où ils pourront exercer avec le concours du directeur des ressources humaines du ministère de l’Agriculture.
Ces festivités ont été marquées par une conférence débat, des jeux de divertissements notamment l’awalé, le jeu de dame, scrabble et le lancer cerceau. Une soirée culturelle de théâtre, de ballets, de concours de danse et de karaoké. Des matches de gala entre les policiers et les étudiants de l’ERA-EST, des équipes féminines des étudiantes de l’ERA-EST et des religieuses de l’église catholique ont été appréciés par le public.
Les vainqueurs que sont l’équipe des policiers et des religieuses ont reçu des trophées de la part du chef d’état major. Le général a quant à lui reçu des présents de la part des élèves et du directeur de ERA-EST.
Fondée en 1971, l’école régionale d’agriculture de l’Est (ERA-EST) a pour mission d’étudier, de concevoir et de mettre en œuvre toute action ou projet de formation professionnelle initiale ou continue en agriculture, rappelle-t-on.
