Touba - Le maire de la commune de Touba (ouest, région du Bafing), Bamba Lamine, a rencontré, jeudi, les éleveurs de sa commune pour prévenir tout risque de conflit entre eux et les agriculteurs en vue de maintenir la paix et la cohésion sociale.
"Notre souci est de maintenir la paix et la cohésion sociale. C’est à ce prix que tout développement est possible. Nous travaillons pour que chacun exerce son activité sans être perturbé. Vous, éleveurs, devez faire en sorte que vos animaux ne détruisent pas les champs des paysans", a dit en substance le premier magistrat de la commune de Touba, les invitant par ailleurs à respecter les règles régissant la profession d’éleveur.
Le directeur départemental de la production animale et des ressources halieutiques de Touba, Dr Traoré Amadou a pour sa part rappelé aux éleveurs ces règles à savoir, se faire recenser ainsi que ses bêtes, mettre les bêtes dans un enclos, avoir un bouvier pour 50 bœufs au maximum, faute de quoi, toute destruction de plantation sera suivi de dédommagement, a-t-il prévenu.
M. Traoré a invité les éleveurs présents cette rencontre à jouer le rôle de relais auprès des siens en les sensibilisant et en les formant sur les règles de la pratique du métier. Pour leur part, les éleveurs ont dénoncé le racket dont ils sont constamment l’objet.
Les conflits entre agriculteurs et éleveurs sont légion, les premiers accusant les seconds d’être à la base de la destruction de leurs champs.
"Notre souci est de maintenir la paix et la cohésion sociale. C’est à ce prix que tout développement est possible. Nous travaillons pour que chacun exerce son activité sans être perturbé. Vous, éleveurs, devez faire en sorte que vos animaux ne détruisent pas les champs des paysans", a dit en substance le premier magistrat de la commune de Touba, les invitant par ailleurs à respecter les règles régissant la profession d’éleveur.
Le directeur départemental de la production animale et des ressources halieutiques de Touba, Dr Traoré Amadou a pour sa part rappelé aux éleveurs ces règles à savoir, se faire recenser ainsi que ses bêtes, mettre les bêtes dans un enclos, avoir un bouvier pour 50 bœufs au maximum, faute de quoi, toute destruction de plantation sera suivi de dédommagement, a-t-il prévenu.
M. Traoré a invité les éleveurs présents cette rencontre à jouer le rôle de relais auprès des siens en les sensibilisant et en les formant sur les règles de la pratique du métier. Pour leur part, les éleveurs ont dénoncé le racket dont ils sont constamment l’objet.
Les conflits entre agriculteurs et éleveurs sont légion, les premiers accusant les seconds d’être à la base de la destruction de leurs champs.