Bouaké - Les enseignants-chercheurs de l’Univeristé Alassane Ouattara (UAO) se réclamant de la Coordination nationale des enseignants-chercheurs et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), ont entamé lundi un arrêt de travail, pour exiger le paiement de tous les arriérés en souffrance à l’Inspection générale des finances (IGF), et de trois ans de primes de correction et de délibération (de 2007 à 2010).
"Cet arrêt de travail concerne toutes les activités académiques et pédagogiques et durera une semaine renouvelable jusqu’à la satisfaction des revendications", a informé le secrétaire général de la section régionale de la CNEC, section Bouaké, Roger Tro Dého, dans une lettre adressée au président de l’UAO dont copie est parvenue à l’AIP.
Les révendications concernent également le reversement de la somme de 100. 000 FCFA retenue sur la prime de recherche de juin 2013 des promus du CAMES de 2012, le paiement des soutenances des années de rattrapage 2011-2012, des heures complémentaires du premier semestre 2012-2013, le rappel des primes de recherches des nouvelles recrues depuis 2011, et la mise à disposition des bureaux et du matériel didactique et informatique.
Le secrétaire général de la CNEC, section Bouaké, explique que la grêve est due au manque de volonté du Gouvernement de trouver des solutions aux difficultés des enseignants-chercheurs, vu les nombreuses actions entreprises par sa structure afin d’éviter cet arrêt de travail.
Aussi, prévient-il que le mouvement de grève ne prendra fin qu’après satisfaction de tous les points de revendication.
nam/cmas
"Cet arrêt de travail concerne toutes les activités académiques et pédagogiques et durera une semaine renouvelable jusqu’à la satisfaction des revendications", a informé le secrétaire général de la section régionale de la CNEC, section Bouaké, Roger Tro Dého, dans une lettre adressée au président de l’UAO dont copie est parvenue à l’AIP.
Les révendications concernent également le reversement de la somme de 100. 000 FCFA retenue sur la prime de recherche de juin 2013 des promus du CAMES de 2012, le paiement des soutenances des années de rattrapage 2011-2012, des heures complémentaires du premier semestre 2012-2013, le rappel des primes de recherches des nouvelles recrues depuis 2011, et la mise à disposition des bureaux et du matériel didactique et informatique.
Le secrétaire général de la CNEC, section Bouaké, explique que la grêve est due au manque de volonté du Gouvernement de trouver des solutions aux difficultés des enseignants-chercheurs, vu les nombreuses actions entreprises par sa structure afin d’éviter cet arrêt de travail.
Aussi, prévient-il que le mouvement de grève ne prendra fin qu’après satisfaction de tous les points de revendication.
nam/cmas