Abidjan – La Banque africaine de développement à travers son programme d'urgence pour la restauration des services sociaux et administratif de base (PURSSAB) a remis, lundi, un lot de matériels de pré collecte d'ordures ménagères d'un montant de 105 millions de Fcfa à 16 communes de la Côte d'Ivoire.
L'ensemble de ce matériel, réceptionné par le ministre de l'environnement, de la salubrité et du développement durable, Rémi Allah-Kouadio, comprend six tracteurs-remorques agricoles, 37 tricycles, 175 brouettes, 200 râteaux, 200 pelles-bêches, 200 fourches de jardin, 1100 cache-nez, 200 gants de sécurité et 200 bottes de sécurité.
Le PURSSAB, selon son coordonnateur, M. Bamba N'galadjo, négocié par l'Etat ivoirien auprès de la BAD, bénéficie d'un financement global de 75 milliards de Fcfa.
Il vise, a-t-il expliqué, à répondre aux besoins urgents du pays à travers le rétablissement des services sanitaires, éducatifs et de protection sociale, des réseaux d'eau et d'assainissement, des services administratifs publics ainsi que celui du mécanisme de dialogue, de promotion de la cohésion sociale et de réconciliation.
Ce programme renferme un volet appui institutionnel (renforcement de capacité de l'administration publique (RENFCAP) bénéficiant également d'un financement d'environ quatre milliards de Fcfa comprenant 11 composantes reparties en acquisition de biens et services dont les matériels de pré collecte des ordures, a fait savoir le coordonnateur du programme.
« La gestion efficiente des déchets dans nos cités contribue à la santé, au bien-être des citoyens et à la réduction de la pauvreté » a précisé pour sa part, le représentant officiel de la BAD en Côte d'Ivoire, M. Matando Foundani, tout en insistant sur l'importance de cette activité pour le développement économique et la cohésion sociale.
« Le matériel de pré collecte remis aux récipiendaires, ce jour, contribuera à la création des emplois pour les jeunes » a-t-il, en outre, ajouté.
Le maire de Tiémé, Adama Harouna, au nom des récipiendaires, a exprimé l'engagement des maires à tout mettre en œuvre pour le bon usage du matériel reçu, mais a surtout plaidé pour l'appui financier de l'Etat.
Dans le cadre du PURSSAB, une convention a été signée avec la commission dialogue et vérité (CDVR) pour un montant de 27 millions de Fcfa pour la sensibilisation en faveur de la paix et de la réconciliation.
Il est prévu, à partir du mois d'octobre 2013, l'acquisition et la livraison de 20 ambulances aux ministères de la santé, des campagnes de sensibilisation sur les questions de l'assainissement et à la salubrité dans le district d'Abidjan, des journées nationales hospitalières et de lutte contre les infections nosocomiales à lancer également en octobre 2013.
Des études diagnostiques du secteur privé sur les régies financières, des études sur l'état des lieux des entreprises publiques et parapubliques et des sessions de formation en audit organisationnelle et gestion du risque qui sont aussi en cours.
Il est prévu également dans le cadre du PURSSAB, l'acquisition de matériels et équipements informatiques pour l'administration publique pour près d'un milliard de Fcfa en vue de doter près de 500 postes de travail dans l'administration publique, souligne-t-on.
L'ensemble de ce matériel, réceptionné par le ministre de l'environnement, de la salubrité et du développement durable, Rémi Allah-Kouadio, comprend six tracteurs-remorques agricoles, 37 tricycles, 175 brouettes, 200 râteaux, 200 pelles-bêches, 200 fourches de jardin, 1100 cache-nez, 200 gants de sécurité et 200 bottes de sécurité.
Le PURSSAB, selon son coordonnateur, M. Bamba N'galadjo, négocié par l'Etat ivoirien auprès de la BAD, bénéficie d'un financement global de 75 milliards de Fcfa.
Il vise, a-t-il expliqué, à répondre aux besoins urgents du pays à travers le rétablissement des services sanitaires, éducatifs et de protection sociale, des réseaux d'eau et d'assainissement, des services administratifs publics ainsi que celui du mécanisme de dialogue, de promotion de la cohésion sociale et de réconciliation.
Ce programme renferme un volet appui institutionnel (renforcement de capacité de l'administration publique (RENFCAP) bénéficiant également d'un financement d'environ quatre milliards de Fcfa comprenant 11 composantes reparties en acquisition de biens et services dont les matériels de pré collecte des ordures, a fait savoir le coordonnateur du programme.
« La gestion efficiente des déchets dans nos cités contribue à la santé, au bien-être des citoyens et à la réduction de la pauvreté » a précisé pour sa part, le représentant officiel de la BAD en Côte d'Ivoire, M. Matando Foundani, tout en insistant sur l'importance de cette activité pour le développement économique et la cohésion sociale.
« Le matériel de pré collecte remis aux récipiendaires, ce jour, contribuera à la création des emplois pour les jeunes » a-t-il, en outre, ajouté.
Le maire de Tiémé, Adama Harouna, au nom des récipiendaires, a exprimé l'engagement des maires à tout mettre en œuvre pour le bon usage du matériel reçu, mais a surtout plaidé pour l'appui financier de l'Etat.
Dans le cadre du PURSSAB, une convention a été signée avec la commission dialogue et vérité (CDVR) pour un montant de 27 millions de Fcfa pour la sensibilisation en faveur de la paix et de la réconciliation.
Il est prévu, à partir du mois d'octobre 2013, l'acquisition et la livraison de 20 ambulances aux ministères de la santé, des campagnes de sensibilisation sur les questions de l'assainissement et à la salubrité dans le district d'Abidjan, des journées nationales hospitalières et de lutte contre les infections nosocomiales à lancer également en octobre 2013.
Des études diagnostiques du secteur privé sur les régies financières, des études sur l'état des lieux des entreprises publiques et parapubliques et des sessions de formation en audit organisationnelle et gestion du risque qui sont aussi en cours.
Il est prévu également dans le cadre du PURSSAB, l'acquisition de matériels et équipements informatiques pour l'administration publique pour près d'un milliard de Fcfa en vue de doter près de 500 postes de travail dans l'administration publique, souligne-t-on.