Le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara s’est réjouit mercredi de la mise en liberté provisoire accordée lundi à 14 pro-Gbagbo par la justice ivoirienne, estimant que c’est un ‘’acte d’apaisement’’ qui rencontre son ‘’assentiment’’.
Dans un entretien avec deux journalistes issus des médias d’Etat et retransmis en direct sur les antennes de la Radio télévision ivoirienne (RTI, service public) en faveur de la célébration du 53ème anniversaire de la Côte d’Ivoire, M. Ouattara a rappelé qu’il avait toujours demandé à la justice d’accélérer les procédures des prisonniers de la crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 qui a fait plus de 3000 morts. Mais, a-t-il précisé, la ‘’justice à son rythme de travail’’.
Lundi, en milieu de matinée, la justice ivoirienne a annoncé la mise en liberté provisoire de 14 personnalités proches de l’ancien Chef de l’Etat, pour la plupart, dignitaires de l’ex-régime dont Pascal Affi N’guessan, Président du Front populaire ivoirien (Fpi) et Michel Gbagbo, fils de Laurent Gbagbo.
‘’Je m’en réjouis. C’est une très bonne chose. D’abord, pour les familles des concernés (…)’’, a ajouté le Président ivoirien, Alassane Ouattara à ce propos, soulignant que ‘’fondamentalement c’est un acte d’apaisement’’. ‘’La justice a fait son travail qui rencontre mon assentiment’’, a-t-il noté.
Saluant le ‘’bon travail’’ de la Commission dialogue, vérité et réconciliation, le Chef de l’Etat ivoirien a relevé que le processus de réconciliation national doit se poursuivre avec ‘’acharnement’’.
24 heures après sa libération, M. Affi a appelé, mardi en début de soirée, au quartier général de son parti où attendaient de nombreux militants venus les accueillir, à ‘’la libération de Laurent Gbagbo’’ en détention à la Haye depuis novembre 2O11.
Il a également, rappelé que d’une part, ‘’700’’ militants de son parti, le Fpi, sont encore détenus et d’autre part, ‘’3000’’ autres sont en exil.
LS/APA
Dans un entretien avec deux journalistes issus des médias d’Etat et retransmis en direct sur les antennes de la Radio télévision ivoirienne (RTI, service public) en faveur de la célébration du 53ème anniversaire de la Côte d’Ivoire, M. Ouattara a rappelé qu’il avait toujours demandé à la justice d’accélérer les procédures des prisonniers de la crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011 qui a fait plus de 3000 morts. Mais, a-t-il précisé, la ‘’justice à son rythme de travail’’.
Lundi, en milieu de matinée, la justice ivoirienne a annoncé la mise en liberté provisoire de 14 personnalités proches de l’ancien Chef de l’Etat, pour la plupart, dignitaires de l’ex-régime dont Pascal Affi N’guessan, Président du Front populaire ivoirien (Fpi) et Michel Gbagbo, fils de Laurent Gbagbo.
‘’Je m’en réjouis. C’est une très bonne chose. D’abord, pour les familles des concernés (…)’’, a ajouté le Président ivoirien, Alassane Ouattara à ce propos, soulignant que ‘’fondamentalement c’est un acte d’apaisement’’. ‘’La justice a fait son travail qui rencontre mon assentiment’’, a-t-il noté.
Saluant le ‘’bon travail’’ de la Commission dialogue, vérité et réconciliation, le Chef de l’Etat ivoirien a relevé que le processus de réconciliation national doit se poursuivre avec ‘’acharnement’’.
24 heures après sa libération, M. Affi a appelé, mardi en début de soirée, au quartier général de son parti où attendaient de nombreux militants venus les accueillir, à ‘’la libération de Laurent Gbagbo’’ en détention à la Haye depuis novembre 2O11.
Il a également, rappelé que d’une part, ‘’700’’ militants de son parti, le Fpi, sont encore détenus et d’autre part, ‘’3000’’ autres sont en exil.
LS/APA