Des parents du quartier Lanviara de Ferkessédougou ont exprimé, samedi, leur mécontentement face au coût élevé des frais de scolarité dans les établissements secondaires privés où leurs enfants ont été affectés en sixième par le ministère de l’Éducation nationale.
Réunis entre amis, une vingtaine de parents d’élèves ont dénoncé la cherté des frais de scolarité imposés par les établissements privés où leurs enfants ont été affectés par l’Etat.
"La scolarité de nos enfants orientés en sixième nous revient à 78.000 F dans les collèges privés en tant qu’affectés de l’Etat, ce n’est pas normal", a confié à l’AIP M. Sanogo Mourlaye.
"Les frais de scolarité sont trop chers et difficilement supportables dans ces établissements d’accueil", fait remarquer M. Sidibé Dramane, maçon à Ferkessédougou, qui souhaite que le mouvement local des consommateurs réagisse face à la situation.
D’ailleurs, selon les responsables du Centre d’information et d’orientation (CIO) de Ferkessédougou, en trois jours, plusieurs parents ont déposé des dossiers dans l’espoir d’obtenir une réaffectation de leurs enfants.
Chose quasi-impossible, indique M. Kéli Séba Timothée, au regard du nombre insuffisant de places au lycée moderne.
"Le lycée ne disposait que de 500 places, nous en avons affecté 610", a affirmé l’inspecteur d’orientation joint au téléphone par l’AIP.
Plus 2.000 élèves ont été affectés, cette année, en sixième dans quatre établissements secondaires privés et dans l’unique lycée moderne de la ville de Ferkessédougou.
Ti/kkp/kp
Réunis entre amis, une vingtaine de parents d’élèves ont dénoncé la cherté des frais de scolarité imposés par les établissements privés où leurs enfants ont été affectés par l’Etat.
"La scolarité de nos enfants orientés en sixième nous revient à 78.000 F dans les collèges privés en tant qu’affectés de l’Etat, ce n’est pas normal", a confié à l’AIP M. Sanogo Mourlaye.
"Les frais de scolarité sont trop chers et difficilement supportables dans ces établissements d’accueil", fait remarquer M. Sidibé Dramane, maçon à Ferkessédougou, qui souhaite que le mouvement local des consommateurs réagisse face à la situation.
D’ailleurs, selon les responsables du Centre d’information et d’orientation (CIO) de Ferkessédougou, en trois jours, plusieurs parents ont déposé des dossiers dans l’espoir d’obtenir une réaffectation de leurs enfants.
Chose quasi-impossible, indique M. Kéli Séba Timothée, au regard du nombre insuffisant de places au lycée moderne.
"Le lycée ne disposait que de 500 places, nous en avons affecté 610", a affirmé l’inspecteur d’orientation joint au téléphone par l’AIP.
Plus 2.000 élèves ont été affectés, cette année, en sixième dans quatre établissements secondaires privés et dans l’unique lycée moderne de la ville de Ferkessédougou.
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