Les criminels continuent leur saga. Ces individus enclin au mal qui n’hésitent pas à tuer leurs semblables pour voler leurs biens ont encore fait parler d’eux et comme d’habitude de la mauvaise manière. A.K, opérateur économique de son état a été arraché à l’affection des siens. Son malheur a été de croiser le chemin de criminels opérant en treillis le lundi 19 août 2013. Cette rencontre lui a été fatale. De retour du boulot, A.K s’apprête à rentrer chez lui, un immeuble appartenant au joueur Kolo, non loin de la résidence Dipoka à la 8e tranche sise à Cocody Angré. A peine est-il descendu de sa voiture, un autre véhicule de type BMW de couleur rouge assure. Quatre individus en tenue militaire sortent de ce véhicule puis dévoilent aussitôt leur identité de malfaiteurs. Tous braquent leurs armes à feu sur A.K. Les fripouilles lui ordonnent de leur remettre les clés de sa BMW X6. Sans résistance, il obéit. Mais l’un des sicaires exige qu’il vienne avec eux et qu’il conduise lui-même l’auto. L’opérateur économique hésité avanté d’obéir.
L’un des damnés tire à plusieurs reprises sur l’infortuné qui s’écroule. Son sang se met à gicler. Sachant que les coups de feu risquent de mettre le quartier en branle, deux s’engouffrent dans la X6 puis démarrent en trombe. Evacué à la polyclinique internationale Sainte Anne Marie(Pisam), le personnel du service d’urgence va refuser de lui apporter des soins sous prétexte qu’il n’a pas été évacué par des sapeurs pompiers encore moins par une ambulance de la SAMU. Ses proches le conduisent alors dans une autre clinique malheureusement, ils buteront sur le refus des praticiens pour les mêmes motifs que ceux évoqués à la Pisam. Il rendra l’âme quelque instant après. Laissant dans un extrême désarroi sa compagne qui l’attendait pour fêter son anniversaire le jour des faits. Que nos autorités redoublent d’efforts afin de mettre hors d’état de nuire tous ces animateurs de la pègre qui sèment mort et désolation dans les familles d’honnêtes citoyens, mais qu’elles règlent la question de prise des cas d’urgence, car la victime aurait pu être sauvée..
A.H
L’un des damnés tire à plusieurs reprises sur l’infortuné qui s’écroule. Son sang se met à gicler. Sachant que les coups de feu risquent de mettre le quartier en branle, deux s’engouffrent dans la X6 puis démarrent en trombe. Evacué à la polyclinique internationale Sainte Anne Marie(Pisam), le personnel du service d’urgence va refuser de lui apporter des soins sous prétexte qu’il n’a pas été évacué par des sapeurs pompiers encore moins par une ambulance de la SAMU. Ses proches le conduisent alors dans une autre clinique malheureusement, ils buteront sur le refus des praticiens pour les mêmes motifs que ceux évoqués à la Pisam. Il rendra l’âme quelque instant après. Laissant dans un extrême désarroi sa compagne qui l’attendait pour fêter son anniversaire le jour des faits. Que nos autorités redoublent d’efforts afin de mettre hors d’état de nuire tous ces animateurs de la pègre qui sèment mort et désolation dans les familles d’honnêtes citoyens, mais qu’elles règlent la question de prise des cas d’urgence, car la victime aurait pu être sauvée..
A.H