Une vingtaine d’experts de l’Agence Nationale d’Appui au Développement Rural (Anader) réfléchissent, depuis lundi, à Agboville, sur la mise en place de projets et programmes de vivriers, pour trouver des réponses aux initiatives et sollicitations soulevées par les partenaires du privé sur la cherté de la vie dûe à la rareté des produits.
"Nous sommes dans une phase de réflexion", a indiqué le directeur du bureau étude et consultance, Dr Miaman Koné, qui a précisé que la réflexion portera particulièrement sur les cultures du maïs, du mil, du sorgho et du soja.
Déplorant le fait que la politique d’autosuffisance du gouvernement ne soit appliquée qu’à la filière riz, Dr Koné a réaffirmé le besoin pour l’Anader de relancer la culture du soja, en vue notamment de produire de l’alimentation animale, de réguler la gestion nutritionnelle des enfants ainsi que celle des adultes.
Démarré lundi, l’atelier s’achève vendredi.
Dd/kkp/kam
"Nous sommes dans une phase de réflexion", a indiqué le directeur du bureau étude et consultance, Dr Miaman Koné, qui a précisé que la réflexion portera particulièrement sur les cultures du maïs, du mil, du sorgho et du soja.
Déplorant le fait que la politique d’autosuffisance du gouvernement ne soit appliquée qu’à la filière riz, Dr Koné a réaffirmé le besoin pour l’Anader de relancer la culture du soja, en vue notamment de produire de l’alimentation animale, de réguler la gestion nutritionnelle des enfants ainsi que celle des adultes.
Démarré lundi, l’atelier s’achève vendredi.
Dd/kkp/kam