Abidjan, Des organisations humanitaires organisent du 4 au 6 septembre, dans des localités de l’Ouest du pays (Man, Danané et Duékoué), une mission conjointe de suivi et de supervision du Projet de restauration des droits des femmes victimes des violences sexuelles pendant la crise postélectorale en Côte d’Ivoire (PRDF).
L’objectif global de ce projet qui a débuté en août 2012, est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des filles et des femmes à travers la protection et la promotion de leurs droits dans le contexte de sortie de crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
Il s’agira pour les membres de la délégation d’apprécier l’état d’avancement de la mise en œuvre des activités du PRDF, intégrer les activités des cases de paix dans les activités des complexes socio-éducatifs, partager avec les autorités les résultats et les actions de pérennisation du projet et enfin identifier les difficultés et faire des recommandations.
Débuté en août 2012, ce projet financé par l’Union Européenne enregistre à ce jour un taux d’exécution de 87%. Il a permis entre autres d’installer des cases de la paix dans les zones cibles et de prendre en charge au plan psychologique, médical et judiciaire une soixantaine de victimes des violences sexuelles.
(AIP)
Fmo/kam
L’objectif global de ce projet qui a débuté en août 2012, est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des filles et des femmes à travers la protection et la promotion de leurs droits dans le contexte de sortie de crise postélectorale en Côte d’Ivoire.
Il s’agira pour les membres de la délégation d’apprécier l’état d’avancement de la mise en œuvre des activités du PRDF, intégrer les activités des cases de paix dans les activités des complexes socio-éducatifs, partager avec les autorités les résultats et les actions de pérennisation du projet et enfin identifier les difficultés et faire des recommandations.
Débuté en août 2012, ce projet financé par l’Union Européenne enregistre à ce jour un taux d’exécution de 87%. Il a permis entre autres d’installer des cases de la paix dans les zones cibles et de prendre en charge au plan psychologique, médical et judiciaire une soixantaine de victimes des violences sexuelles.
(AIP)
Fmo/kam
