Gnénéma Coulibaly (Garde des Sceaux) : « Personne n’est traqué en Côte d’ivoire. Pour qu’il y ait pardon, il faut à tout le moins qu’il y ait reconnaissance ou rétablissement judiciaire des faits. Par la suite, réparation et pardon suivront. C’est à cette condition que la réconciliation nationale peut être envisagée. Ne laissons pas à perte et profits ce qui s’est passé. Il y a eu 3000 morts. Nous croyons que cette espèce d’impunité favorise la répétition de ce drame que la Côte d’Ivoire a connu et que personne ne veut plus voir dans notre pays »
Doudou Diène (Expert indépendant de l’ONU) : «La loi sur la nationalité a redressé un facteur récurrent d’instabilité et d’affaiblissement de la de la société ivoirienne en tenant compte des engagements internationaux de la Côte d’Ivoire relatifs à l’apatridie et aux droits de l’homme »
Ibrahim Boubacar Kéita (Président malien) : « N’eut été votre sagacité et votre promptitude en tant que président de la communauté internationale, au-delà de la nôtre, se soucie de nous, prenne conscience de la gravité de la situation du Mali et décide pour la première fois, dans l’histoire contemporaine, de venir unanimement au chevet d’un pays. Pour cela et pour tout le reste, nous pouvons être reconnaissants »
Maurice Kakou Guikahué (SGA du PDCI) : « Si on fait le Congrès et que la majorité des congressistes prennent des décisions et que les autres refusent, il y aura alors menace d’implosion »
Essy Amara (Ex-président de la Commission de l’UA) : « Nous sommes tous des enfants d’immigrés, donc tous des apatrides. Il faut mettre rapidement fin à cela pour que la Côte d’Ivoire avance. Il faut dépassionner et dépolitiser le débat. Je ne comprends pas le comportement de la nouvelle classe politique ivoirienne »
Révérend Martin Luther King (Leader noir américain de la lutte contre la ségrégation raciale) : « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »
Doudou Diène (Expert indépendant de l’ONU) : «La loi sur la nationalité a redressé un facteur récurrent d’instabilité et d’affaiblissement de la de la société ivoirienne en tenant compte des engagements internationaux de la Côte d’Ivoire relatifs à l’apatridie et aux droits de l’homme »
Ibrahim Boubacar Kéita (Président malien) : « N’eut été votre sagacité et votre promptitude en tant que président de la communauté internationale, au-delà de la nôtre, se soucie de nous, prenne conscience de la gravité de la situation du Mali et décide pour la première fois, dans l’histoire contemporaine, de venir unanimement au chevet d’un pays. Pour cela et pour tout le reste, nous pouvons être reconnaissants »
Maurice Kakou Guikahué (SGA du PDCI) : « Si on fait le Congrès et que la majorité des congressistes prennent des décisions et que les autres refusent, il y aura alors menace d’implosion »
Essy Amara (Ex-président de la Commission de l’UA) : « Nous sommes tous des enfants d’immigrés, donc tous des apatrides. Il faut mettre rapidement fin à cela pour que la Côte d’Ivoire avance. Il faut dépassionner et dépolitiser le débat. Je ne comprends pas le comportement de la nouvelle classe politique ivoirienne »
Révérend Martin Luther King (Leader noir américain de la lutte contre la ségrégation raciale) : « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »