Abidjan - Le Mali est "au bout du tunnel" après "des moments extrêmement difficiles", a déclaré, mardi à Abidjan, le président par intérim de ce pays, Dioncoundé Traoré, qui est censé remettre le pouvoir au nouveau président élu, Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK, mercredi à Bamako.
" Le Mali revient de loin, nous avons passé des moments extrêmement difficiles, mais aujourd’hui, nous pouvons dire que nous sommes au bout du tunnel", a affirmé M. Traoré au terme d’une rencontre avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Suite à un coup d’Etat militaire perpétré le 22 mars 2012 contre l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré, une transition politique mise en place en avril de la même année et dirigée par Dioncounda Traoré s’est soldée, le 11 août 2013, par l’élection d’Ibrahim Boubacar Kéïta à la magistrature suprême.
"Après avoir recouvré l’ensemble de notre territoire, après l’organisation de l’élection présidentielle que toutes et tous s’accordent à reconnaitre comme ayant été transparente et crédible, je pense que nous sommes au bout du tunnel", a insisté le président par intérim du Mali, qui a remercié Alassane Ouattara dont le "leadership", selon lui, a permis d’atteindre ce résultat.
Le putsch du 22 mars avait favorisé la prise de la quasi-totalité des localités de la partie septentrionale du Mali par des Djihadistes, chassés plus tard une intervention militaire française soutenue par des troupes de la CEDEAO et du Tchad.
(AIP)
kkp/tm
(AIP)
" Le Mali revient de loin, nous avons passé des moments extrêmement difficiles, mais aujourd’hui, nous pouvons dire que nous sommes au bout du tunnel", a affirmé M. Traoré au terme d’une rencontre avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Suite à un coup d’Etat militaire perpétré le 22 mars 2012 contre l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré, une transition politique mise en place en avril de la même année et dirigée par Dioncounda Traoré s’est soldée, le 11 août 2013, par l’élection d’Ibrahim Boubacar Kéïta à la magistrature suprême.
"Après avoir recouvré l’ensemble de notre territoire, après l’organisation de l’élection présidentielle que toutes et tous s’accordent à reconnaitre comme ayant été transparente et crédible, je pense que nous sommes au bout du tunnel", a insisté le président par intérim du Mali, qui a remercié Alassane Ouattara dont le "leadership", selon lui, a permis d’atteindre ce résultat.
Le putsch du 22 mars avait favorisé la prise de la quasi-totalité des localités de la partie septentrionale du Mali par des Djihadistes, chassés plus tard une intervention militaire française soutenue par des troupes de la CEDEAO et du Tchad.
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