3 septembre 2012, 3 septembre 2013. Cela fait un an que les universités publiques ont vu leur réouverture officielle. A l’occasion, le professeur Mansilla Abouattier, directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a aminé une conférence de presse autour du thème : An 1 ‘’du départ nouveau.
Mme Abouattier a rappelé les conditions de vie et de travail des enseignants et des étudiants, dégradées depuis plus de deux décennies, qui avaient atteint le paroxysme de l’intolérable avec la crise postélectorale. Fort heureusement, s’est-elle félicitée, le gouvernement a fait des sacrifices sans précédent pour remettre les universités publiques sur les bons rails. Concernant les mesures d’urgence prises par les autorités, on retient en premier la réhabilitation des structures universitaires et la sécurisation du patrimoine foncier. A ce niveau, tous les villages environnants ont été déguerpis. Puis, il a été procédé à la reconstitution de la capacité d’accueil par la réhabilitation et le rééquipement des universités existantes. Les travaux auront permis aussi l’accroissement des capacités d’accueil. Selon Pr. Abouattier, le coût global de la réhabilitation de toutes les universités publiques (Cocody, Abobo-Adjamé, Bouaké, Korhogo et Daloa) est de 110 milliards de FCFA décomposé de la façon suivante : environ 20 milliards de FCFA pour les équipements, un peu plus de 18 milliards de FCFA pour les droits de douane et taxes diverses, environ 5 milliards de FCFA d’honoraires pour le Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd) et le reste pour le coût des travaux de réhabilitation à proprement parler, qui a aussi concerné les résidences universitaires de Mermoz, Cité rouge, Cité de la Riviera 2 et Saint Jean. En ce qui concerne les mesures administratives et académiques, elle a cité l’identification des étudiants et la sécurisation des documents. Cette opération aura été une opportunité pour assainir les listes des étudiants et lutter contre le phénomène de sédentarisation (parapluie atomique). A ce niveau, quelques disfonctionnements sont survenus. L’oratrice a indiqué qu’il y a eu un renforcement des capacités et la réforme relative au système LMD. Pr. Abouattier a affirmé qu’il s’agissait ainsi de répondre à la préoccupation de l’adéquation formation-emploi.
Olivier Guédé
Mme Abouattier a rappelé les conditions de vie et de travail des enseignants et des étudiants, dégradées depuis plus de deux décennies, qui avaient atteint le paroxysme de l’intolérable avec la crise postélectorale. Fort heureusement, s’est-elle félicitée, le gouvernement a fait des sacrifices sans précédent pour remettre les universités publiques sur les bons rails. Concernant les mesures d’urgence prises par les autorités, on retient en premier la réhabilitation des structures universitaires et la sécurisation du patrimoine foncier. A ce niveau, tous les villages environnants ont été déguerpis. Puis, il a été procédé à la reconstitution de la capacité d’accueil par la réhabilitation et le rééquipement des universités existantes. Les travaux auront permis aussi l’accroissement des capacités d’accueil. Selon Pr. Abouattier, le coût global de la réhabilitation de toutes les universités publiques (Cocody, Abobo-Adjamé, Bouaké, Korhogo et Daloa) est de 110 milliards de FCFA décomposé de la façon suivante : environ 20 milliards de FCFA pour les équipements, un peu plus de 18 milliards de FCFA pour les droits de douane et taxes diverses, environ 5 milliards de FCFA d’honoraires pour le Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd) et le reste pour le coût des travaux de réhabilitation à proprement parler, qui a aussi concerné les résidences universitaires de Mermoz, Cité rouge, Cité de la Riviera 2 et Saint Jean. En ce qui concerne les mesures administratives et académiques, elle a cité l’identification des étudiants et la sécurisation des documents. Cette opération aura été une opportunité pour assainir les listes des étudiants et lutter contre le phénomène de sédentarisation (parapluie atomique). A ce niveau, quelques disfonctionnements sont survenus. L’oratrice a indiqué qu’il y a eu un renforcement des capacités et la réforme relative au système LMD. Pr. Abouattier a affirmé qu’il s’agissait ainsi de répondre à la préoccupation de l’adéquation formation-emploi.
Olivier Guédé