Cela peut paraître étonnant, surtout quand un chef de village est un intellectuel voire un directeur commercial, lorsqu’on constate dans d’autres villages de la Côte d’Ivoire, que les chefs de village sont des personnes qui ne sont pas allées à l’école.
Le village Abobo-Baoulé, montre des signes d’une autre prise de conscience en matière de gestion villageoise. Et elle est très édifiante. Amondji Djongon Claude, directeur commercial, dirige la chefferie « Abobo-Baoulé ». Conformément à certains chefs Atchan nés dans leur village, le chef Amondji Djongon Claude est né à Abidjan… mais pas à Abobo-Baoulé.
A 55 ans, Amondji Djongon Claude dirige un village d’une très riche histoire culturelle et politique. Il y a le centre d’action culturelle Laurent Gbagbo, le palais de l’unité et un jardin public. Avec ces identités politiques et culturelles, la chefferie Abobo-Baoulé est déterminée à préserver d’autres grands équilibres de développement. Entre autres, la construction de deux grands bassins d’orage et l’extension des établissements scolaires.
Il y a fort à dire vu que Amondji Djongon Claude est issu de la génération « Dougbo ». Et la chefferie Abobo-Baoulé est distante de 25 km du centre des affaires, de la capitale économique, Abidjan. Au plan du développement économique, Abobo-Baoulé offre à ses six (6) mille habitants, la production et la commercialisation de l’attiéké. A Abobo-Baoulé, on parle beaucoup d’unité et de tradition.
Le chef Amondji Djongon Claude est entouré du doyen d’âge du village en l’occurrence Nimba Abougnan Lambert et du doyen d’âge de la génération ‘’Dougbo’’ répondant au nom de Sagou Alphonse Boyo. Qui assurent avec le chef ces valeurs sociales chères à la nation.
Ben Ismaël
Le village Abobo-Baoulé, montre des signes d’une autre prise de conscience en matière de gestion villageoise. Et elle est très édifiante. Amondji Djongon Claude, directeur commercial, dirige la chefferie « Abobo-Baoulé ». Conformément à certains chefs Atchan nés dans leur village, le chef Amondji Djongon Claude est né à Abidjan… mais pas à Abobo-Baoulé.
A 55 ans, Amondji Djongon Claude dirige un village d’une très riche histoire culturelle et politique. Il y a le centre d’action culturelle Laurent Gbagbo, le palais de l’unité et un jardin public. Avec ces identités politiques et culturelles, la chefferie Abobo-Baoulé est déterminée à préserver d’autres grands équilibres de développement. Entre autres, la construction de deux grands bassins d’orage et l’extension des établissements scolaires.
Il y a fort à dire vu que Amondji Djongon Claude est issu de la génération « Dougbo ». Et la chefferie Abobo-Baoulé est distante de 25 km du centre des affaires, de la capitale économique, Abidjan. Au plan du développement économique, Abobo-Baoulé offre à ses six (6) mille habitants, la production et la commercialisation de l’attiéké. A Abobo-Baoulé, on parle beaucoup d’unité et de tradition.
Le chef Amondji Djongon Claude est entouré du doyen d’âge du village en l’occurrence Nimba Abougnan Lambert et du doyen d’âge de la génération ‘’Dougbo’’ répondant au nom de Sagou Alphonse Boyo. Qui assurent avec le chef ces valeurs sociales chères à la nation.
Ben Ismaël