Le projet de planification familiale et santé sexuelle reproductive des jeunes dans le district d’Abidjan a été lancé ce lundi 23 septembre dans la salle Félix Houphouët-Boigny du district d’Abidjan.
C’est un projet qui comprend trois axes stratégiques que sont le renforcement des capacités du personnel d’encadrement, c’est-à-dire l’ensemble de la communauté éducative, la sensibilisation des jeunes dans les écoles ainsi que les parents et la dotation des infirmeries et centres de santé d’équipements de planification et de produits contraceptifs.
En ce qui concerne la phase pilote, deux communes ont été retenues. Il s’agit des communes de Yopougon et d’Attécoubé. La première pour son taux élevé en matière de grossesse en milieu scolaire et la seconde pour son exemplarité en matière d’action de sensibilisation. Elles vont bénéficier d’un accompagnement pour booster leurs politiques communales en matière de planification familiale et santé sexuelle et reproductive.
Selon le ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle près de 4 900 cas de grossesses précoces en milieu scolaire ont été enregistrés en 2017, faisant ainsi de ce fléau une situation préoccupante pour les autorités.
Pour le Vice gouverneur, Séa Honoré, « c’est une problématique qui engage le devenir de la configuration des villes et communes. Il a appelé à une synergie d’action des experts en planification familiale, du personnel de santé, de la communauté éducative et surtout des parents ».
Ce projet s’inscrit dans le cadre ’’ d’initiative pour la santé et la salubrité dans les villes " financé par l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF), la fondation Bill and Melinda Gates et la mairie de Paris.
Dans son intervention, Arianna Ardesi, conseillère et représentante du Secrétariat Permanent de l’AIMF, a engagé les communes bénéficiaires à offrir des services efficaces aux populations pour une meilleure prise en compte de la planification familiale et la réduction du taux de grossesse en milieu scolaire.
Après la phase pilote à Yopougon et Attecoubé qui va durer 2 ans, le projet va s’étendre sur les autres communes du district d’Abidjan et par la suite sur les villes de l’intérieur du pays.
Cyprien K.
C’est un projet qui comprend trois axes stratégiques que sont le renforcement des capacités du personnel d’encadrement, c’est-à-dire l’ensemble de la communauté éducative, la sensibilisation des jeunes dans les écoles ainsi que les parents et la dotation des infirmeries et centres de santé d’équipements de planification et de produits contraceptifs.
En ce qui concerne la phase pilote, deux communes ont été retenues. Il s’agit des communes de Yopougon et d’Attécoubé. La première pour son taux élevé en matière de grossesse en milieu scolaire et la seconde pour son exemplarité en matière d’action de sensibilisation. Elles vont bénéficier d’un accompagnement pour booster leurs politiques communales en matière de planification familiale et santé sexuelle et reproductive.
Selon le ministère de l’Éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle près de 4 900 cas de grossesses précoces en milieu scolaire ont été enregistrés en 2017, faisant ainsi de ce fléau une situation préoccupante pour les autorités.
Pour le Vice gouverneur, Séa Honoré, « c’est une problématique qui engage le devenir de la configuration des villes et communes. Il a appelé à une synergie d’action des experts en planification familiale, du personnel de santé, de la communauté éducative et surtout des parents ».
Ce projet s’inscrit dans le cadre ’’ d’initiative pour la santé et la salubrité dans les villes " financé par l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF), la fondation Bill and Melinda Gates et la mairie de Paris.
Dans son intervention, Arianna Ardesi, conseillère et représentante du Secrétariat Permanent de l’AIMF, a engagé les communes bénéficiaires à offrir des services efficaces aux populations pour une meilleure prise en compte de la planification familiale et la réduction du taux de grossesse en milieu scolaire.
Après la phase pilote à Yopougon et Attecoubé qui va durer 2 ans, le projet va s’étendre sur les autres communes du district d’Abidjan et par la suite sur les villes de l’intérieur du pays.
Cyprien K.