Arrivée en Côte d’Ivoire en milieu de matinée, vendredi, pour une visite d’amitié et de travail, la gouverneure générale du Canada, Julie Payette a été élevée au rang de « citoyenne d’honneur » de la capitale économique du pays, Abidjan, dont elle a également reçu les clés.
Le gouverneur du District autonome d’Abidjan, Robert Beurgré Mambé, lui a remis le diplôme marquant sa distinction, lors d’une cérémonie solennelle à l’hôtel de ville, en début de soirée. Il a, à l’occasion, expliqué le geste qui se veut, à l’en croire, la marque de l’affection des peuples Atchan et Attié d’Abidjan et avec eux tous les ivoiriens pour leur illustre hôte.
« Nous vous ouvrons tout notre cœur », a-t-il traduit, formulant le vœu de voir la gouverneure générale du Canada « épouser la Côte d’Ivoire comme seconde nation », avec pour impact notamment un renforcement des relations diplomatiques entre les deux Etats.
Le gouverneur Mambé a ainsi appelé à un investissement massif du Canada en Côte d’Ivoire où, selon lui, du travail reste à faire. « Venez en grand nombre, la Côte d’Ivoire vous attend », a-t-il lancé.
Il a, par ailleurs, magnifié la riche carrière de Mme Payette à qui des présents ont été également offerts. Elle a notamment reçu un grand pagne traditionnel, un couvre-chef, des sandales, des bracelets, et un chasse mouche pour symboliser notamment son intégration à la tradition Atchan et Attié, les peuples originels d’Abidjan.
Intégrée à la « génération Dougbo » et dans la « catégorie Danbga », la Très Honorable Julie Payette a été baptisée « Sidjè ». Ce qui signifie « la femme qui va au combat sans hésiter et qui accepte de souffrir pour les autres ».
La gouverneure générale du Canada a, pour sa part salué, la chaleur de l’accueil réservée à la délégation qu’elle conduit, expliquant qu’il s’agit pour elle, en se déplaçant à Abidjan, de témoigner de l’importance que son pays accorde à sa coopération avec la Côte d’Ivoire.
« Nous avons choisi de venir ici pour vous montrer à quel point vous êtes importants pour nous », a-t-elle déclaré. Mme Payette, dans son intervention, a souligné l’impérieuse nécessité de la collaboration entre les nations du monde, « inextricablement embarquées sur le même bateau » qu’est la planète terre.
(AIP)
kg/fmo
Le gouverneur du District autonome d’Abidjan, Robert Beurgré Mambé, lui a remis le diplôme marquant sa distinction, lors d’une cérémonie solennelle à l’hôtel de ville, en début de soirée. Il a, à l’occasion, expliqué le geste qui se veut, à l’en croire, la marque de l’affection des peuples Atchan et Attié d’Abidjan et avec eux tous les ivoiriens pour leur illustre hôte.
« Nous vous ouvrons tout notre cœur », a-t-il traduit, formulant le vœu de voir la gouverneure générale du Canada « épouser la Côte d’Ivoire comme seconde nation », avec pour impact notamment un renforcement des relations diplomatiques entre les deux Etats.
Le gouverneur Mambé a ainsi appelé à un investissement massif du Canada en Côte d’Ivoire où, selon lui, du travail reste à faire. « Venez en grand nombre, la Côte d’Ivoire vous attend », a-t-il lancé.
Il a, par ailleurs, magnifié la riche carrière de Mme Payette à qui des présents ont été également offerts. Elle a notamment reçu un grand pagne traditionnel, un couvre-chef, des sandales, des bracelets, et un chasse mouche pour symboliser notamment son intégration à la tradition Atchan et Attié, les peuples originels d’Abidjan.
Intégrée à la « génération Dougbo » et dans la « catégorie Danbga », la Très Honorable Julie Payette a été baptisée « Sidjè ». Ce qui signifie « la femme qui va au combat sans hésiter et qui accepte de souffrir pour les autres ».
La gouverneure générale du Canada a, pour sa part salué, la chaleur de l’accueil réservée à la délégation qu’elle conduit, expliquant qu’il s’agit pour elle, en se déplaçant à Abidjan, de témoigner de l’importance que son pays accorde à sa coopération avec la Côte d’Ivoire.
« Nous avons choisi de venir ici pour vous montrer à quel point vous êtes importants pour nous », a-t-elle déclaré. Mme Payette, dans son intervention, a souligné l’impérieuse nécessité de la collaboration entre les nations du monde, « inextricablement embarquées sur le même bateau » qu’est la planète terre.
(AIP)
kg/fmo
