La police et la gendarmerie ivoirienne se sont outillées pour lutter efficacement contre les violences sexuelles et les violences sur les enfants dans le pays, a-t-on appris jeudi de source sécuritaire.
Quelque 800 officiers et sous-officiers enquêteurs se sont engagés à mener des actions performantes sur le terrain, à l’occasion d’une formation en genre, droits de l’homme et droits des enfants à l’initiative du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et du gouvernement ivoirien.
A en croire des agents, les thématiques étaient notamment axés sur les violences basées sur le genre, les violences conjugales ainsi que les mutilations génitales féminines.
Pour le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire, Ndolamb Ngokwey, ces outils vont aider ces agents à faire de la justice, une institution qui rassure et sécurise les populations, et un instrument au service du développement.
"Les femmes ont été victimes de violences et continuent de l’être. Il nous a paru essentiel d’équiper les policiers et les gendarmes d’outils nécessaires pour pouvoir traiter de cette question", a noté M. Ngokwey.
"La protection des populations est une tâche noble et un défi majeur", a-t-il relevé, expliquant que le Système des Nations Unies s’est engagé aux cotés du gouvernement ivoirien pour l’accompagner dans la mise en place d’une justice crédible.
Pour le représentant du ministère ivoirien du Plan et du Développement Lacina Kouamé, les violences basées sur le genre constituent un frein au développement du pays.
"Former les agents des forces de l’ordre, c’est contribuer au rétablissement de la paix en Côte d’Ivoire. Il faut que ces forces de défense et de sécurité puissent nous permettre de prévenir ces violations graves des droits de l’Homme", a plaidé M. Kouamé.
Les violences basées sur le genre et la défense des droits des enfants constituent des problématiques majeures qui préoccupent autorités et partenaires du pays.
A plusieurs occasions, les forces de sécurité ont été exhortées à renforcer leurs capacités pour combattre avec vigueur le fléau.
Quelque 800 officiers et sous-officiers enquêteurs se sont engagés à mener des actions performantes sur le terrain, à l’occasion d’une formation en genre, droits de l’homme et droits des enfants à l’initiative du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) et du gouvernement ivoirien.
A en croire des agents, les thématiques étaient notamment axés sur les violences basées sur le genre, les violences conjugales ainsi que les mutilations génitales féminines.
Pour le Représentant spécial adjoint du Secrétaire général de l’ONU pour la Côte d’Ivoire, Ndolamb Ngokwey, ces outils vont aider ces agents à faire de la justice, une institution qui rassure et sécurise les populations, et un instrument au service du développement.
"Les femmes ont été victimes de violences et continuent de l’être. Il nous a paru essentiel d’équiper les policiers et les gendarmes d’outils nécessaires pour pouvoir traiter de cette question", a noté M. Ngokwey.
"La protection des populations est une tâche noble et un défi majeur", a-t-il relevé, expliquant que le Système des Nations Unies s’est engagé aux cotés du gouvernement ivoirien pour l’accompagner dans la mise en place d’une justice crédible.
Pour le représentant du ministère ivoirien du Plan et du Développement Lacina Kouamé, les violences basées sur le genre constituent un frein au développement du pays.
"Former les agents des forces de l’ordre, c’est contribuer au rétablissement de la paix en Côte d’Ivoire. Il faut que ces forces de défense et de sécurité puissent nous permettre de prévenir ces violations graves des droits de l’Homme", a plaidé M. Kouamé.
Les violences basées sur le genre et la défense des droits des enfants constituent des problématiques majeures qui préoccupent autorités et partenaires du pays.
A plusieurs occasions, les forces de sécurité ont été exhortées à renforcer leurs capacités pour combattre avec vigueur le fléau.