Abidjan - Le PNCS, programme nationale de cohésion sociale et le haut commissariat aux réfugiés se disent prêts à une étroite collaboration aux profits des réfugiés et de l’ensemble de la communauté nationale.
En visite mardi dans les locaux du PNCS à Abidjan, la représentante résidente du Haut commissariat des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Mme Ann Encontre, s’est enquis du fonctionnement de la structure, indiquant avoir des intérêts communs avec le PNCS, avec lequel elle souhaiterait collaborer. "Nous avons des intérêts communs et on pourrait voir ensemble comment collaborer", a-t-elle indiqué.
"Nous sommes ensemble pour travailler étroitement avec le gouvernement ivoirien pour aider les réfugiés et nous travaillons pour le même but avec les structures nationales", a fait savoir la représentante résidente du HCR qui s’est félicité de l’implication du PNCS dans l’accueil des réfugiés ivoiriens qui regagnent progressivement la Côte d’Ivoire.
Se félicitant pour sa part de cette visite de Mme Encontre, le directeur coordonnateur du PNCS, Pr Mariatou Koné, a dit attendre beaucoup de cette collaboration. "Nos espoirs de collaboration sont immenses, si nous mettons ensemble nos forces, ce sera pour le bonheur des réfugiés et de l’ensemble de nos concitoyens", a-t-elle dit.
Selon le directeur coordonnateur du programme, la question de la cohésion sociale, demeure essentielle et l’implication de sa structure dans l’accueil des réfugiés, est "naturelle" et il convient, a-t-elle, indiqué, " d’œuvrer ensemble pour les maintenir au pays", avant d’ajouter qu’il faut tout faire pour que les personnes qui vivent en Côte d’Ivoire, "vivre en parfaite harmonie dans leur différence".
Doté d’un budget de sept milliards de francs CFA financé par le gouvernement ivoirien et ses partenaires extérieurs, le Programme nationale de cohésion sociale doit s’étaler jusqu’en 2015, il a été lancé le 10 mai 2013 à Abidjan, rappelle-t-on.
gk/tm
En visite mardi dans les locaux du PNCS à Abidjan, la représentante résidente du Haut commissariat des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Mme Ann Encontre, s’est enquis du fonctionnement de la structure, indiquant avoir des intérêts communs avec le PNCS, avec lequel elle souhaiterait collaborer. "Nous avons des intérêts communs et on pourrait voir ensemble comment collaborer", a-t-elle indiqué.
"Nous sommes ensemble pour travailler étroitement avec le gouvernement ivoirien pour aider les réfugiés et nous travaillons pour le même but avec les structures nationales", a fait savoir la représentante résidente du HCR qui s’est félicité de l’implication du PNCS dans l’accueil des réfugiés ivoiriens qui regagnent progressivement la Côte d’Ivoire.
Se félicitant pour sa part de cette visite de Mme Encontre, le directeur coordonnateur du PNCS, Pr Mariatou Koné, a dit attendre beaucoup de cette collaboration. "Nos espoirs de collaboration sont immenses, si nous mettons ensemble nos forces, ce sera pour le bonheur des réfugiés et de l’ensemble de nos concitoyens", a-t-elle dit.
Selon le directeur coordonnateur du programme, la question de la cohésion sociale, demeure essentielle et l’implication de sa structure dans l’accueil des réfugiés, est "naturelle" et il convient, a-t-elle, indiqué, " d’œuvrer ensemble pour les maintenir au pays", avant d’ajouter qu’il faut tout faire pour que les personnes qui vivent en Côte d’Ivoire, "vivre en parfaite harmonie dans leur différence".
Doté d’un budget de sept milliards de francs CFA financé par le gouvernement ivoirien et ses partenaires extérieurs, le Programme nationale de cohésion sociale doit s’étaler jusqu’en 2015, il a été lancé le 10 mai 2013 à Abidjan, rappelle-t-on.
gk/tm
