Le goléador camerounais Samuel Eto’o a annoncé, dimanche à Yaoundé, la capitale du pays, qu’il n’évoluerait plus jamais au sein de la sélection nationale.
Il a réservé cette annonce à ses coéquipiers, quelques minutes seulement après la rencontre contre la Libye (1-0) comptant pour la 2è et avant-dernière journée des éliminatoires de la Coupe du monde «Brésil 2014».
Selon des témoins de la scène, le nouveau sociétaire de Chelsea (Angleterre) a indiqué à ses interlocuteurs que sa décision était irrévocable.
Quelques heures plus tôt, des rumeurs faisant état du refus de Samuel Eto’o de prendre part au match contre la Libye avaient fait le tour de la capitale.
On lui prêtait alors une vive altercation avec l’entraîneur national, Volker Finke, quant au choix de certains joueurs pour cette rencontre.
Il ne serait, apprend-on, revenu sur cette décision que sur intervention d’un haut responsable de la présidence de la République.
Eto’o aurait aussi, voici quelques jours, confié à des proches son dépit grandissant quant à l’ambiance générale au sein du groupe et vis-à-vis des officiels, marquée notamment par des intrigues et de multiples tracasseries autour du paiement des primes aux athlètes.
En décembre 2011, le joueur avait écopé d’une suspension pour 15 rencontres avec les «Lions indomptables» par la commission d’homologation et de discipline de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).
Il lui était reproché d’avoir incité ses coéquipiers à refuser de se déplacer en Algérie pour disputer un match amical contre ce pays, des faits «constitutifs des infractions de violation du devoir de loyauté et de l’obligation de participer à un match» tels que prévus et réprimés par les textes fédéraux.
FCEB/od/APA
Il a réservé cette annonce à ses coéquipiers, quelques minutes seulement après la rencontre contre la Libye (1-0) comptant pour la 2è et avant-dernière journée des éliminatoires de la Coupe du monde «Brésil 2014».
Selon des témoins de la scène, le nouveau sociétaire de Chelsea (Angleterre) a indiqué à ses interlocuteurs que sa décision était irrévocable.
Quelques heures plus tôt, des rumeurs faisant état du refus de Samuel Eto’o de prendre part au match contre la Libye avaient fait le tour de la capitale.
On lui prêtait alors une vive altercation avec l’entraîneur national, Volker Finke, quant au choix de certains joueurs pour cette rencontre.
Il ne serait, apprend-on, revenu sur cette décision que sur intervention d’un haut responsable de la présidence de la République.
Eto’o aurait aussi, voici quelques jours, confié à des proches son dépit grandissant quant à l’ambiance générale au sein du groupe et vis-à-vis des officiels, marquée notamment par des intrigues et de multiples tracasseries autour du paiement des primes aux athlètes.
En décembre 2011, le joueur avait écopé d’une suspension pour 15 rencontres avec les «Lions indomptables» par la commission d’homologation et de discipline de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT).
Il lui était reproché d’avoir incité ses coéquipiers à refuser de se déplacer en Algérie pour disputer un match amical contre ce pays, des faits «constitutifs des infractions de violation du devoir de loyauté et de l’obligation de participer à un match» tels que prévus et réprimés par les textes fédéraux.
FCEB/od/APA