Ce sont des populations du département de Prikro convaincues et heureuses de savoir que l’avenir de leur région sera radieux, qui ont quitté samedi après midi, l’espace de l’ex-complexe sucrier de Serebou. Et pour cause, le ministre de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, venu les rencontrer, pour leur expliquer le bien fondé du projet intégré de l’hévéaculture et des cultures vivrières pour la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté dans le département de Prikro, a été très clair et rassurant. Car le démarrage de ce projet a connu des remous dans la localité de Famienkro, où il est implanté, entre un certains nombre de personnes hostiles au projet et la majorité des populations. Ces remous ayant d’ailleurs entraîné l’arrestation de certains dissidents.
C’est pourquoi, saisissant la présence du ministre, le porte parole des populations, Ladji Yacouba, a posé une préoccupation majeure à l’émissaire du gouvernement et qui est à l’origine du conflit, à savoir à qui appartient la terre sur laquelle sera implanté le projet. Aussi, il a souhaité que les dissidents qui ont été arrêtés soient libérés, car ils sont fils de la région.
Le ministre de l’agriculture a été précis et concis sur ces deux préoccupations. Ainsi, il a affirmé que la terre appartient bel et bien à l’Etat. Tout en revenant sur la loi foncière d’avant et d’après 1998, il a édifié les uns et les autres, amenant tout un chacun à se mettre en tête que l’ex-complexe sucrier de Sérébou est un patrimoine de l’Etat. Pour la libération des détenus, tout en leur souhaitant qu’ils demandent pardon à ceux à qui ils ont fait du tord, il a promis qu’avant samedi prochain et la visite du Premier ministre Kablan Ducan à Prikro, pour le lancement des travaux, ils seront libérés.
Puis, il est revenu sur le bien fondé du projet, qui entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme National d’Investissement Agricole ( PNIA) . Il a reconnu que les rapports qui ont été faits concèdent que l’approche n’a pas été adapté à la réalité du terrain ce qui a entraîné beaucoup d’incompréhensions. Mais, il affirmé que la société choisi pour le projet, la Société Hévéicole du Cavally (Chc), ne sera pas propriétaire de la terre. Elle se contentera de ses gains tout en aidant les populations à réaliser leurs propres parcelles. Mieux, les 3000 emplois directs qui seront crées reviendront en priorité aux fils de la région. Le ministre Sangafowa a démontré aux populations que ce projet et bien d’autres ne sont que le début du Développement promis par le Président de la République.
Le service communication
C’est pourquoi, saisissant la présence du ministre, le porte parole des populations, Ladji Yacouba, a posé une préoccupation majeure à l’émissaire du gouvernement et qui est à l’origine du conflit, à savoir à qui appartient la terre sur laquelle sera implanté le projet. Aussi, il a souhaité que les dissidents qui ont été arrêtés soient libérés, car ils sont fils de la région.
Le ministre de l’agriculture a été précis et concis sur ces deux préoccupations. Ainsi, il a affirmé que la terre appartient bel et bien à l’Etat. Tout en revenant sur la loi foncière d’avant et d’après 1998, il a édifié les uns et les autres, amenant tout un chacun à se mettre en tête que l’ex-complexe sucrier de Sérébou est un patrimoine de l’Etat. Pour la libération des détenus, tout en leur souhaitant qu’ils demandent pardon à ceux à qui ils ont fait du tord, il a promis qu’avant samedi prochain et la visite du Premier ministre Kablan Ducan à Prikro, pour le lancement des travaux, ils seront libérés.
Puis, il est revenu sur le bien fondé du projet, qui entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme National d’Investissement Agricole ( PNIA) . Il a reconnu que les rapports qui ont été faits concèdent que l’approche n’a pas été adapté à la réalité du terrain ce qui a entraîné beaucoup d’incompréhensions. Mais, il affirmé que la société choisi pour le projet, la Société Hévéicole du Cavally (Chc), ne sera pas propriétaire de la terre. Elle se contentera de ses gains tout en aidant les populations à réaliser leurs propres parcelles. Mieux, les 3000 emplois directs qui seront crées reviendront en priorité aux fils de la région. Le ministre Sangafowa a démontré aux populations que ce projet et bien d’autres ne sont que le début du Développement promis par le Président de la République.
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