Bondoukou - Le cinquième festival du Zanzan se tient du 23 au 28 septembre de façon éclatée à Bondoukou et Bouna, a annoncé le directeur régional de la Culture et de la Francophonie, Kouakou Bio Alphonse, jeudi, face à la presse.
Contrairement aux autres années où ce festival de danses, d’instruments de musique et de costumes traditionnels a lieu uniquement à Bondoukou, il se déroule cette fois-ci de façon éclatée à Bouna et Bondoukou pour respecter l’esprit.
"L’innovation cette année, c’est que nous voulons le faire de façon éclatée parce que c’est le festival du Zanzan. Aujourd’hui, dans notre esprit, le Zanzan n’existe qu’au niveau du district. Ce n’est plus la région qu’on avait dans le temps. Vous avez les régions du Gontougo et du Bounkani qui font le district du Zanzan. Pour respecter cet esprit du Zanzan, le ministère a décidé d’éclater ce festival", a indiqué M. Kouakou Bio.
Il a fait savoir également que ce festival auquel prennent part 60 troupes de danses, 40 à Bondoukou et 20 à Bouna, vise notamment à faire la promotion de la culture du terroir et à faire découvrir le district du Zanzan.
Un atelier scientifique sur « Le rôle des communautés dans la promotion du patrimoine culturel régional » et « Patrimoine culturel, source de créativité, de cohésion sociale et de paix durable », des prestations de danse, des parades des acteurs en costumes traditionnels, des expositions d’instruments de musique, un bal populaire ainsi que la visite de sites touristiques constituent les temps forts de ce festival.
Les sites touristiques à visiter sont, entres autres, le pilier de la première mosquée de Bondoukou, la maison de Samory Touré, la résidence de Binger, la première case de Bondoukou ainsi que les singes sacrés de Soko.
Organisé par le ministère de la Culture et de la Francophonie, ce festival placé sous le parrainage du ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani et du ministre auprès du Premier ministre, chargé de l'Economie et des Finances, Mme Kaba Nialé, s’articule autour du thème « Promotion du patrimoine culturel régional : adjuvant de la construction nationale inclusive et du développement durable ».
(AIP)
ns/cmas
(AIP)
Contrairement aux autres années où ce festival de danses, d’instruments de musique et de costumes traditionnels a lieu uniquement à Bondoukou, il se déroule cette fois-ci de façon éclatée à Bouna et Bondoukou pour respecter l’esprit.
"L’innovation cette année, c’est que nous voulons le faire de façon éclatée parce que c’est le festival du Zanzan. Aujourd’hui, dans notre esprit, le Zanzan n’existe qu’au niveau du district. Ce n’est plus la région qu’on avait dans le temps. Vous avez les régions du Gontougo et du Bounkani qui font le district du Zanzan. Pour respecter cet esprit du Zanzan, le ministère a décidé d’éclater ce festival", a indiqué M. Kouakou Bio.
Il a fait savoir également que ce festival auquel prennent part 60 troupes de danses, 40 à Bondoukou et 20 à Bouna, vise notamment à faire la promotion de la culture du terroir et à faire découvrir le district du Zanzan.
Un atelier scientifique sur « Le rôle des communautés dans la promotion du patrimoine culturel régional » et « Patrimoine culturel, source de créativité, de cohésion sociale et de paix durable », des prestations de danse, des parades des acteurs en costumes traditionnels, des expositions d’instruments de musique, un bal populaire ainsi que la visite de sites touristiques constituent les temps forts de ce festival.
Les sites touristiques à visiter sont, entres autres, le pilier de la première mosquée de Bondoukou, la maison de Samory Touré, la résidence de Binger, la première case de Bondoukou ainsi que les singes sacrés de Soko.
Organisé par le ministère de la Culture et de la Francophonie, ce festival placé sous le parrainage du ministre des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani et du ministre auprès du Premier ministre, chargé de l'Economie et des Finances, Mme Kaba Nialé, s’articule autour du thème « Promotion du patrimoine culturel régional : adjuvant de la construction nationale inclusive et du développement durable ».
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