Un véritable coup d’accélérateur vient d’être donné à la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) à travers l’inauguration officielle du Bureau national de l’Unesco d’Abidjan, le vendredi 13 septembre dernier.
Cette Cérémonie a été marquée par la présence effective de la directrice générale de cette institution, Irina Bokova et rehaussée par la présence du chef du gouvernement ivoirien, Daniel Kablan Duncan, de l’ambassadrice de la Côte d’Ivoire à l’Unesco, Denise Houphouët-Boigny, et du ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique, Kandia Camara. Au nom du chef de l’Etat, le Premier ministre, remettant officiellement les clés du Bureau national de l’Unesco à sa directrice générale, a déclaré : « L’inauguration du siège de l’Unesco à Abidjan, ajoutée au retour très prochain du siège de la Bad, sont les preuves les plus tangibles du retour de la paix et de la réconciliation en Côte d’Ivoire (…) Ce bureau symbolise la présence physique de l’Unesco en Côte d’Ivoire, la convergence de vos actions à accompagner notre pays à relever les nombreux défis qui l’attendent, notamment, le retour de la paix». Pour la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, « l’Unesco et la Côte d’Ivoire partagent une histoire riche, une histoire de passion pour la culture, pour la musique, pour la recherche de la paix ».
C’est pourquoi, elle a fait savoir qu’à travers l’inauguration du Bureau national, elle y voit « le symbole du lien privilégié qui unit l’Unesco et la Côte d’Ivoire». Et de renchérir pour dire de la Côte d’Ivoire qu’elle est « à un tournant de son histoire où nous ressentons profondément le lien irréductible entre la recherche de la paix et la recherche du développement.
Les deux sont indissociables, comme l’a justement déclaré le président Ouattara à la tribune de l’Unesco en 2011. Il n’y a pas de paix durable sans développement, pas de développent durable sans la paix, et sans le respect des droits humains ; il ne peut y avoir durablement ni l’une ni l’autre». Le ministre de l’Education nationale s’est, quant à elle, réjoui de cette inauguration qui est la traduction en acte de l’accord de siège signé entre l’Unesco et la Côte d’Ivoire.
JEAN PRISCA
Cette Cérémonie a été marquée par la présence effective de la directrice générale de cette institution, Irina Bokova et rehaussée par la présence du chef du gouvernement ivoirien, Daniel Kablan Duncan, de l’ambassadrice de la Côte d’Ivoire à l’Unesco, Denise Houphouët-Boigny, et du ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique, Kandia Camara. Au nom du chef de l’Etat, le Premier ministre, remettant officiellement les clés du Bureau national de l’Unesco à sa directrice générale, a déclaré : « L’inauguration du siège de l’Unesco à Abidjan, ajoutée au retour très prochain du siège de la Bad, sont les preuves les plus tangibles du retour de la paix et de la réconciliation en Côte d’Ivoire (…) Ce bureau symbolise la présence physique de l’Unesco en Côte d’Ivoire, la convergence de vos actions à accompagner notre pays à relever les nombreux défis qui l’attendent, notamment, le retour de la paix». Pour la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, « l’Unesco et la Côte d’Ivoire partagent une histoire riche, une histoire de passion pour la culture, pour la musique, pour la recherche de la paix ».
C’est pourquoi, elle a fait savoir qu’à travers l’inauguration du Bureau national, elle y voit « le symbole du lien privilégié qui unit l’Unesco et la Côte d’Ivoire». Et de renchérir pour dire de la Côte d’Ivoire qu’elle est « à un tournant de son histoire où nous ressentons profondément le lien irréductible entre la recherche de la paix et la recherche du développement.
Les deux sont indissociables, comme l’a justement déclaré le président Ouattara à la tribune de l’Unesco en 2011. Il n’y a pas de paix durable sans développement, pas de développent durable sans la paix, et sans le respect des droits humains ; il ne peut y avoir durablement ni l’une ni l’autre». Le ministre de l’Education nationale s’est, quant à elle, réjoui de cette inauguration qui est la traduction en acte de l’accord de siège signé entre l’Unesco et la Côte d’Ivoire.
JEAN PRISCA