Le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara a achevé dimanche sa visite de deux jours au Togo où il a discuté avec son homologue togolais Faure Gnassingbé des questions économique et socio-politique sous-régionales. M. Ouattara assume la présidence de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO), alors que Faure Ganssingbé est le président en exercice de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa).
Les deux hommes ont échangé sur l’intégration sous-régionale dans la perspective du sommet de ce regroupement prévu en octobre prochain au Sénégal.
Selon M. Ouattara, la CEDEAO et l’Uemoa "doivent coordonner leurs actions pour le futur", ainsi leurs entretiens ont porté sur le financement à long terme des économies de l’Uemoa, les tarifs extérieurs communs et des prélèvements communautaires.
Faure Gnassingbé a indiqué que la situation économique au sein de l’Uemoa, dont la Côte d’Ivoire et le Togo sont membre, était satisfaisante, du point de vue du taux de croissance économique de plus de 5%.
"Il faut des efforts complémentaires pour passer la barre de 7% ", a-t-il souligné, ajoutant que les réflexions en cours et les solutions envisagées face aux préoccupations actuelles pourront permettre des résultats meilleurs dans les courts et moyens termes.
Sur le plan socio-politique, les deux chefs d’Etat ont débattu de l’élection présidentielle prochaine en Guinée-Bissau et de son financement. Ils ont examiné la piste d’une assistance financière de l’Uemoa dans l’organisation de cette élection.
Le président togolais Faure Gnassingbé s’est montré favorable à cette intervention financière et se chargera de sa finalisation.
Les deux hommes ont échangé sur l’intégration sous-régionale dans la perspective du sommet de ce regroupement prévu en octobre prochain au Sénégal.
Selon M. Ouattara, la CEDEAO et l’Uemoa "doivent coordonner leurs actions pour le futur", ainsi leurs entretiens ont porté sur le financement à long terme des économies de l’Uemoa, les tarifs extérieurs communs et des prélèvements communautaires.
Faure Gnassingbé a indiqué que la situation économique au sein de l’Uemoa, dont la Côte d’Ivoire et le Togo sont membre, était satisfaisante, du point de vue du taux de croissance économique de plus de 5%.
"Il faut des efforts complémentaires pour passer la barre de 7% ", a-t-il souligné, ajoutant que les réflexions en cours et les solutions envisagées face aux préoccupations actuelles pourront permettre des résultats meilleurs dans les courts et moyens termes.
Sur le plan socio-politique, les deux chefs d’Etat ont débattu de l’élection présidentielle prochaine en Guinée-Bissau et de son financement. Ils ont examiné la piste d’une assistance financière de l’Uemoa dans l’organisation de cette élection.
Le président togolais Faure Gnassingbé s’est montré favorable à cette intervention financière et se chargera de sa finalisation.