Le club Shito-ryu kenshiken de Bouaké a repris officiellement ses activités le samedi 15 septembre dernier, après deux semaines de trêve.
L’annonce a été faite par son premier responsable, Dr Diomandé Ahmadou, CN 3èmedan et par ailleurs président de la ligue du centre.
Il a livré cette information lors d’un point de presse tenu samedi dernier à la salle de conférence de l’hôpital psychiatrique de Baouké.
Avant tout propos, Dr Diomandé a rendu un hommage aux autorités de la ville pour l’intérêt qu’elles accordent au sport en général et aux arts martiaux plus singulièrement. Il n’a pas manqué de traduire sa gratitude à l’endroit des parents des pratiquants qui ont placé leur confiance en lui.
‘‘Aucune activité ne peut se faire sans une pause. Il est important de libérer temporairement les jeunes afin qu’ils puissent passer un temps avec leur famille. Nous avons aussi évité un phénomène dangereux qui est le surmenage. Nous reprenons cette fois avec plus d’énergie et de volonté. Sans travail et le mérite, il sera difficile d’avoir des résultats. C’est seulement par la qualité du travail que nous aurons la confiance des autorités. Sans stage et sans formation de nos athlètes, le karaté ivoirien aura du mal à éclore malgré les bonnes volontés. Le sport est aujourd’hui scientifique. Les plus forts sont ceux qui travaillent sur des bases fiables. Nous devons tout mettre en œuvre pour y parvenir ", a indiqué le premier responsable du Shito- ryu en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, il a demandé aux pratiquants de cette discipline à avoir un bon comportement dans la société.
Avec le soutien des bonnes volontés, Dr Diomandé entend vulgariser la pratique du Shito-ryu dans le pays.
A.M
L’annonce a été faite par son premier responsable, Dr Diomandé Ahmadou, CN 3èmedan et par ailleurs président de la ligue du centre.
Il a livré cette information lors d’un point de presse tenu samedi dernier à la salle de conférence de l’hôpital psychiatrique de Baouké.
Avant tout propos, Dr Diomandé a rendu un hommage aux autorités de la ville pour l’intérêt qu’elles accordent au sport en général et aux arts martiaux plus singulièrement. Il n’a pas manqué de traduire sa gratitude à l’endroit des parents des pratiquants qui ont placé leur confiance en lui.
‘‘Aucune activité ne peut se faire sans une pause. Il est important de libérer temporairement les jeunes afin qu’ils puissent passer un temps avec leur famille. Nous avons aussi évité un phénomène dangereux qui est le surmenage. Nous reprenons cette fois avec plus d’énergie et de volonté. Sans travail et le mérite, il sera difficile d’avoir des résultats. C’est seulement par la qualité du travail que nous aurons la confiance des autorités. Sans stage et sans formation de nos athlètes, le karaté ivoirien aura du mal à éclore malgré les bonnes volontés. Le sport est aujourd’hui scientifique. Les plus forts sont ceux qui travaillent sur des bases fiables. Nous devons tout mettre en œuvre pour y parvenir ", a indiqué le premier responsable du Shito- ryu en Côte d’Ivoire. Par ailleurs, il a demandé aux pratiquants de cette discipline à avoir un bon comportement dans la société.
Avec le soutien des bonnes volontés, Dr Diomandé entend vulgariser la pratique du Shito-ryu dans le pays.
A.M
