ABIDJAN, 17 septembre (Xinhua) -- Quelque 614 femmes sont décédées lors des accouchements en 2012, a révélé mardi le président de la société de gynécologie et d'obstétrie de Côte d'Ivoire Simplice Anongba.
A en croire M. Anongba, le taux élevé de mortalité maternelle constitue une préoccupation.
"La réduction de la mortalité maternelle avec la volonté des décideurs politiques se trouve à l'ordre du jour d'un conclave des experts en gynécologie qui se tiendra prochainement à Yamoussoukro (centre)", a-t-il révélé.
Pour celui-ci, il s'agit de multiplier les réflexions dans l'optique d'améliorer la santé des populations en matière d'accouchement et de prise en charge.
"L'enjeu principal c'est sensibiliser tous les acteurs de la santé à l'amélioration des indicateurs, notamment, réduire les taux de mortalité maternelles, car la Côte d'Ivoire rend des comptes à l'étranger sur le plan international sur ces indicateurs de santé qui permettent de jauger le niveau de vie de développement d'un pays, " a-t-il souligné.
Selon le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), au moins 16 femmes meurent chaque jour en couche ou pour des problèmes liés aux grossesses en Côte d'Ivoire.
L'organisation onusienne s'est engagée de son côté à lutter contre la mortalité maternelle dans le pays à travers un programme d'un coût de plus de 144 millions de francs CFA.
"Le chiffre de 16 femmes qui meurent chaque jour sur le territoire ivoirien pour des causes évitables liées aux grossesses et aux accouchements entrave le capital humain du pays et amenuise le rendement de ses institutions", avait souligné sa Représentante résidente en Côte d'Ivoire Suzanne Maïga Konaté lors d'une rencontre officielle.
Mme Konaté avait ainsi insisté sur l'accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique et affiché " l'enthousiasme" de son organisation à accompagner l'Etat ivoirien dans la bataille contre le phénomène.
A en croire M. Anongba, le taux élevé de mortalité maternelle constitue une préoccupation.
"La réduction de la mortalité maternelle avec la volonté des décideurs politiques se trouve à l'ordre du jour d'un conclave des experts en gynécologie qui se tiendra prochainement à Yamoussoukro (centre)", a-t-il révélé.
Pour celui-ci, il s'agit de multiplier les réflexions dans l'optique d'améliorer la santé des populations en matière d'accouchement et de prise en charge.
"L'enjeu principal c'est sensibiliser tous les acteurs de la santé à l'amélioration des indicateurs, notamment, réduire les taux de mortalité maternelles, car la Côte d'Ivoire rend des comptes à l'étranger sur le plan international sur ces indicateurs de santé qui permettent de jauger le niveau de vie de développement d'un pays, " a-t-il souligné.
Selon le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), au moins 16 femmes meurent chaque jour en couche ou pour des problèmes liés aux grossesses en Côte d'Ivoire.
L'organisation onusienne s'est engagée de son côté à lutter contre la mortalité maternelle dans le pays à travers un programme d'un coût de plus de 144 millions de francs CFA.
"Le chiffre de 16 femmes qui meurent chaque jour sur le territoire ivoirien pour des causes évitables liées aux grossesses et aux accouchements entrave le capital humain du pays et amenuise le rendement de ses institutions", avait souligné sa Représentante résidente en Côte d'Ivoire Suzanne Maïga Konaté lors d'une rencontre officielle.
Mme Konaté avait ainsi insisté sur l'accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique et affiché " l'enthousiasme" de son organisation à accompagner l'Etat ivoirien dans la bataille contre le phénomène.