Le vice-président de la Fédération ivoirienne de handball (FIHB), Boni Ehouman a animé mercredi, un point de presse où il a fait la mise au point selon laquelle sa structure n’a aucun problème avec le ministre de la promotion de la jeunesse, des sports et loisirs, rejetant de surcroit tout acte de défiance vis-à-vis de celui qui réglemente la vie du sport en Côte d’Ivoire.
Selon M. Boni, les membres de l’instance fédérale ont toujours eu de bons rapports avec le ministère de tutelle et son premier responsable même quand il s’est agi d’organiser l’Assemblée générale élective (AGE) du 20 janvier qui n’est pas arrivée à son terme.
"Lorsqu’il a demandé le report de l’assemblée, nous avons accepté. Lorsqu’il a demandé que l’AG soit délocalisée à Abidjan au lieu de Tiassalé, nous l’avons aussi accepté. Nous n’avons rien contre le ministre. Pour son autorité, nous avons accepté tout ce qu’il nous a demandé", a-t-il fait savoir.
Sur le retrait des clubs ivoiriens de la 5ème édition du championnat d’Afrique des clubs décidés par le ministère de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs, faute de compétitions organisées par la FIHB, le conférencier a estimé qu’il s’agit d’une méconnaissance des textes par les collaborateurs du ministre qui auraient dû l’interpeller.
"Ce sont les collaborateurs du ministre qui doivent l’interpeller pour lui dire que la participation ne découle pas du championnat 2012-2013", a accusé la deuxième personnalité de la FIHB.
Le conférencier a fait savoir que les responsables de la FIHB placent-ils un espoir dans l’audience qu’ils tentent d’obtenir auprès du ministre Alain Lobognon pour aplanir certains points de divergences.
Le handball en Côte d’Ivoire a connu une saison sabbatique à cause du retard accusé dans le renouvellement des membres de l’instance dirigeante. Ce n’est qu’en juillet qu’une AGE a vu la réélection à la tête de la FIHB du Colonel médecin, Joseph Ouéréga.
Les autres candidats qui avaient dénoncé les conditions d’organisation de ladite AGE et qui l’avaient boycottée, continuent de contester la légitimité du président Ouéréga dont la réélection a été entérinée par la Fédération internationale de handball (IHF).
Fmo/kam
Selon M. Boni, les membres de l’instance fédérale ont toujours eu de bons rapports avec le ministère de tutelle et son premier responsable même quand il s’est agi d’organiser l’Assemblée générale élective (AGE) du 20 janvier qui n’est pas arrivée à son terme.
"Lorsqu’il a demandé le report de l’assemblée, nous avons accepté. Lorsqu’il a demandé que l’AG soit délocalisée à Abidjan au lieu de Tiassalé, nous l’avons aussi accepté. Nous n’avons rien contre le ministre. Pour son autorité, nous avons accepté tout ce qu’il nous a demandé", a-t-il fait savoir.
Sur le retrait des clubs ivoiriens de la 5ème édition du championnat d’Afrique des clubs décidés par le ministère de la promotion de la jeunesse, des sports et des loisirs, faute de compétitions organisées par la FIHB, le conférencier a estimé qu’il s’agit d’une méconnaissance des textes par les collaborateurs du ministre qui auraient dû l’interpeller.
"Ce sont les collaborateurs du ministre qui doivent l’interpeller pour lui dire que la participation ne découle pas du championnat 2012-2013", a accusé la deuxième personnalité de la FIHB.
Le conférencier a fait savoir que les responsables de la FIHB placent-ils un espoir dans l’audience qu’ils tentent d’obtenir auprès du ministre Alain Lobognon pour aplanir certains points de divergences.
Le handball en Côte d’Ivoire a connu une saison sabbatique à cause du retard accusé dans le renouvellement des membres de l’instance dirigeante. Ce n’est qu’en juillet qu’une AGE a vu la réélection à la tête de la FIHB du Colonel médecin, Joseph Ouéréga.
Les autres candidats qui avaient dénoncé les conditions d’organisation de ladite AGE et qui l’avaient boycottée, continuent de contester la légitimité du président Ouéréga dont la réélection a été entérinée par la Fédération internationale de handball (IHF).
Fmo/kam