On avait cru que, mardi prochain 24 septembre, le comité exécutif de la Fsf se prononcerait juste entre Conakry et Marrakech comme futur site d’accueil du match Sénégal – Côte d’Ivoire de la mi-novembre lors du barrage retour des éliminatoires du Mondial 2014. Et pour cause, le président de la Fsf, Me Augustin Senghor, avait restreint les possibilités à ces deux villes guinéenne et marocaine qui avaient respectivement accueilli les matches … à domicile des « Lions » contre l’Angola en mars dernier face à l’Ouganda plus tôt ce mois-ci. Mais, ne voilà-t-il pas que le sélectionneur national, Alain Giresse, interrogé par cafonline.com, évoque la piste malienne. « Au Mali, il y a une bonne pelouse, de la lumière ainsi que le public.
J’ai vécu au Mali et j’ai envie de venir jouer la Côte d’Ivoire », a dit cette semaine le technicien français qui, pourtant, avait dans un premier temps dit sa préférence pour Marrakech pour ce qu’il avait appelé ses « conditions optimales de jeu ». Or, quel profit, son équipe en avait-elle tiré ? Aucun, est-on tenté de dire, puisque les « Lions » y avaient fourni leur pire prestation de ce deuxième tour des éliminatoires du Mondial 2014. Même si, paradoxalement, elle avait été couronnée d’un succès qui vaut aux « Lions », aujourd’hui, de chercher une terre d’accueil pour leur ultime match de novembre… Alain Giresse n’a toutefois pas omis de préciser qu’« après tout, ce sont les dirigeants qui décident ».
Cette troisième option prospérera-t-elle auprès du comité exécutif de la Fsf ? On ne le saura que mardi. En tout cas, ce qui peut se lire à travers les déclarations de Giresse, c’est que Bamako serait un bon compromis. La capitale malienne a « une bonne pelouse, de la lumière » comme Marrakech (mais pas comme Conakry), « et le public » comme Conakry (mais pas comme Marrakech) ! Suffisant pour s’attirer la préférence de l’ancien sélectionneur des « Aigles » du Mali qui, en plus, espère y bénéficier encore d’un capital sympathie auprès de la population pour avoir notamment conduit Seydou Keïta et ses frères à la 3ème place de la Can 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale.
Mais, à la limite, qu’importe le lieu du match retour face aux « Eléphants », Giresse s’est voulu ferme : « Je serai prêt ; mais avant tout, il faudra se mettre au travail ». En tout cas, il a promis quelques heures après le tirage au sort de lundi dernier, de tout faire pour mettre son équipe dans les dispositions de bien figurer dans cette double confrontation contre la Côte d’Ivoire. « Nous n’avons pas à faire de complexe. Nous allons jouer notre match », avait soutenu le coach français des « Lions ». Nous allons jouer notre match », avait-il promis. Giresse avait même refusé de parler de revanche, en dépit du fait que les « Eléphants » avaient barré la route de la Can 2013 aux « Lions » grâce à deux victoires (4 – 2 à Abidjan et 2 – 0 à Dakar) dont la dernière, émaillée d’incidents, a entraîné la suspension du stade L.S. Senghor.
Sûrement que dans sa tête, cette nouvelle double confrontation ivoiro-sénégalaise a déjà commencé à se jouer. Et mardi, lorsqu’il saura effectivement où se disputera la manche retour de novembre, il pourra se mettre à échafauder sa tactique pour briser la trompe des « Eléphants ».
J’ai vécu au Mali et j’ai envie de venir jouer la Côte d’Ivoire », a dit cette semaine le technicien français qui, pourtant, avait dans un premier temps dit sa préférence pour Marrakech pour ce qu’il avait appelé ses « conditions optimales de jeu ». Or, quel profit, son équipe en avait-elle tiré ? Aucun, est-on tenté de dire, puisque les « Lions » y avaient fourni leur pire prestation de ce deuxième tour des éliminatoires du Mondial 2014. Même si, paradoxalement, elle avait été couronnée d’un succès qui vaut aux « Lions », aujourd’hui, de chercher une terre d’accueil pour leur ultime match de novembre… Alain Giresse n’a toutefois pas omis de préciser qu’« après tout, ce sont les dirigeants qui décident ».
Cette troisième option prospérera-t-elle auprès du comité exécutif de la Fsf ? On ne le saura que mardi. En tout cas, ce qui peut se lire à travers les déclarations de Giresse, c’est que Bamako serait un bon compromis. La capitale malienne a « une bonne pelouse, de la lumière » comme Marrakech (mais pas comme Conakry), « et le public » comme Conakry (mais pas comme Marrakech) ! Suffisant pour s’attirer la préférence de l’ancien sélectionneur des « Aigles » du Mali qui, en plus, espère y bénéficier encore d’un capital sympathie auprès de la population pour avoir notamment conduit Seydou Keïta et ses frères à la 3ème place de la Can 2012 au Gabon et en Guinée équatoriale.
Mais, à la limite, qu’importe le lieu du match retour face aux « Eléphants », Giresse s’est voulu ferme : « Je serai prêt ; mais avant tout, il faudra se mettre au travail ». En tout cas, il a promis quelques heures après le tirage au sort de lundi dernier, de tout faire pour mettre son équipe dans les dispositions de bien figurer dans cette double confrontation contre la Côte d’Ivoire. « Nous n’avons pas à faire de complexe. Nous allons jouer notre match », avait soutenu le coach français des « Lions ». Nous allons jouer notre match », avait-il promis. Giresse avait même refusé de parler de revanche, en dépit du fait que les « Eléphants » avaient barré la route de la Can 2013 aux « Lions » grâce à deux victoires (4 – 2 à Abidjan et 2 – 0 à Dakar) dont la dernière, émaillée d’incidents, a entraîné la suspension du stade L.S. Senghor.
Sûrement que dans sa tête, cette nouvelle double confrontation ivoiro-sénégalaise a déjà commencé à se jouer. Et mardi, lorsqu’il saura effectivement où se disputera la manche retour de novembre, il pourra se mettre à échafauder sa tactique pour briser la trompe des « Eléphants ».