Sur les traces des réalisations du projet PPAAO/WAAPP, la presse nationale a visité une ferme expérimentale dans le village de Foro Foro, commune de Katiola, le jeudi 19 septembre 2013. Dans son champ, Ouattara Seydou produit des semence de maïs lorsque tout le monde alentour s’adonne à la culture de l’anacarde. Avec la semence améliorée, l’homme récolte 4 tonnes à l’hectare sur un cycle court de 95 jours. Mieux, la semence améliorée résiste aux aléas du climat, surtout à la sécheresse. Il revend la semence à 450 f/ kg, notamment au Waapp qui rachète la moitié de sa production.
Le manioc transformé, une manne tombée du ciel...
A Bamoro, localité située à 10 km de Bouaké, le groupement des femmes Edinanwlè a mis un accent particulier sur la culture du manioc. Mme Yao Affoué Marie Jeanne, présidente de ce groupement explique que l’aide du projet Waapp et des structures agricoles leur a permis de découvrir une nouvelle variété de manioc, le "beaucoup 1". Elle a la particularité de résister aux maladies et aux intempéries, en plus d’être excellente pour l’attieké, le foutou, le plakali, etc. Sur 1 ha, le groupement Edinanwlè a réalisé 30 tonnes de récolte. Une partie de la production est transformée pour la consommation, et l’autre sert à la culture. Le souhait de ces braves dames, que le Waapp leur permette d’acquérir une unité de transformation pour approvisionner Bouaké.
A Languibonou, située à 28 km de Bouaké, le groupement Yeoukayemou a également fait de la culture de manioc sa principale activité. Ici, vingt groupements exploitent chacun 0, 60 ha. Le soutien du projet Waapp avec l’introduction de la nouvelle variété de manioc "beaucoup 1" a permis au groupement Yeoukayemou de s’imposer. Le responsable, Djè Noël a même fait une démonstration de la technique de recepage qui consiste à multiplier des boutures.
L’unité de transformation de manioc de Bouaké pour freiner le chômage des jeunes
Les invités du Waapp ont également visité l’unité de transformation de manioc de Bouaké. Elle est située au cœur de la ville. C’est l’œuvre de l’Union des commerçantes du vivrier de la cité, dirigée par Mme Tanoh Viviane Kouadio. C’est une véritable usine de production d’Attiéké et de ses dérivés. La présidente en profite pour sollicites du programme Waapp une aide matérielle pour augmenter sa production.
Le programme-test du Waapp porte donc déjà des fruits sur le terrain. Dans quelques années, cette politique permettra de garantir la sécurité alimentaire, indispensable à l’émergence du pays.
FN
Le manioc transformé, une manne tombée du ciel...
A Bamoro, localité située à 10 km de Bouaké, le groupement des femmes Edinanwlè a mis un accent particulier sur la culture du manioc. Mme Yao Affoué Marie Jeanne, présidente de ce groupement explique que l’aide du projet Waapp et des structures agricoles leur a permis de découvrir une nouvelle variété de manioc, le "beaucoup 1". Elle a la particularité de résister aux maladies et aux intempéries, en plus d’être excellente pour l’attieké, le foutou, le plakali, etc. Sur 1 ha, le groupement Edinanwlè a réalisé 30 tonnes de récolte. Une partie de la production est transformée pour la consommation, et l’autre sert à la culture. Le souhait de ces braves dames, que le Waapp leur permette d’acquérir une unité de transformation pour approvisionner Bouaké.
A Languibonou, située à 28 km de Bouaké, le groupement Yeoukayemou a également fait de la culture de manioc sa principale activité. Ici, vingt groupements exploitent chacun 0, 60 ha. Le soutien du projet Waapp avec l’introduction de la nouvelle variété de manioc "beaucoup 1" a permis au groupement Yeoukayemou de s’imposer. Le responsable, Djè Noël a même fait une démonstration de la technique de recepage qui consiste à multiplier des boutures.
L’unité de transformation de manioc de Bouaké pour freiner le chômage des jeunes
Les invités du Waapp ont également visité l’unité de transformation de manioc de Bouaké. Elle est située au cœur de la ville. C’est l’œuvre de l’Union des commerçantes du vivrier de la cité, dirigée par Mme Tanoh Viviane Kouadio. C’est une véritable usine de production d’Attiéké et de ses dérivés. La présidente en profite pour sollicites du programme Waapp une aide matérielle pour augmenter sa production.
Le programme-test du Waapp porte donc déjà des fruits sur le terrain. Dans quelques années, cette politique permettra de garantir la sécurité alimentaire, indispensable à l’émergence du pays.
FN