Les forces de sécurité ont débuté un déploiement impressionnant dans les départements de Kong et de Ferké (nord) en vue de contrer les menaces et de juguler les attaques récurrentes des bandes armées dans cette zone, ont indiqué dimanche des habitants à Xinhua.
A en croire ceux-ci, des brigades des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) se sont postées à des endroits stratégiques, et les militaires organisent des patrouilles motorisées et pédestres.
Des habitants se sont dits soulagés et satisfaits de ce dispositif sécuritaire qu'ils trouvent rassurant, eu égard aux exactions des individus armés non identifiés qui "régnaient en maîtres" et qui "défiaient les forces de l'ordre".
Les attaques perpétrées par les bandes armées appelées coupeurs de route ont déjà fait plusieurs victimes dans la région dont un gendarme et un militaire tués par des tireurs inconnus pendant qu'ils retournaient d'une mission.
Selon une information rapportée par un journaliste de l'Agence ivoirienne de presse (AIP) basé dans la région, les inconnus armés s'étaient même opposés formellement à la présence d'éléments à bord de véhicules de transport dans la région, et avaient menacé de représailles tout transporteur qui violerait cette "consigne".
Les attaques perpétrées par des inconnus armés contres les forces de sécurité sont récurrentes ces dernières semaines dans le pays.
Samedi, un soldat des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) a été tué à un poste de contrôle militaire par des individus armés sortis des broussailles.
Deux gendarmes et un policier ont trouvé la mort la semaine dernière à Yamoussoukro (centre), dans une fusillade menée par une bande armée embusquée au cours d'une patrouille.
Lors d'une rencontre à la mi-septembre avec le corps préfectoral, le président ivoirien Alassane Ouattara avait annoncé des mesures vigoureuses contre ce fléau, indiquant que les forces de sécurité seraient "sans pitié" pour les bandes armées qui écument les routes.
A en croire ceux-ci, des brigades des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) se sont postées à des endroits stratégiques, et les militaires organisent des patrouilles motorisées et pédestres.
Des habitants se sont dits soulagés et satisfaits de ce dispositif sécuritaire qu'ils trouvent rassurant, eu égard aux exactions des individus armés non identifiés qui "régnaient en maîtres" et qui "défiaient les forces de l'ordre".
Les attaques perpétrées par les bandes armées appelées coupeurs de route ont déjà fait plusieurs victimes dans la région dont un gendarme et un militaire tués par des tireurs inconnus pendant qu'ils retournaient d'une mission.
Selon une information rapportée par un journaliste de l'Agence ivoirienne de presse (AIP) basé dans la région, les inconnus armés s'étaient même opposés formellement à la présence d'éléments à bord de véhicules de transport dans la région, et avaient menacé de représailles tout transporteur qui violerait cette "consigne".
Les attaques perpétrées par des inconnus armés contres les forces de sécurité sont récurrentes ces dernières semaines dans le pays.
Samedi, un soldat des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) a été tué à un poste de contrôle militaire par des individus armés sortis des broussailles.
Deux gendarmes et un policier ont trouvé la mort la semaine dernière à Yamoussoukro (centre), dans une fusillade menée par une bande armée embusquée au cours d'une patrouille.
Lors d'une rencontre à la mi-septembre avec le corps préfectoral, le président ivoirien Alassane Ouattara avait annoncé des mesures vigoureuses contre ce fléau, indiquant que les forces de sécurité seraient "sans pitié" pour les bandes armées qui écument les routes.