Abidjan - Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a quitté Abidjan, dimanche, pour New York, Etats-Unis d’Amérique, pour prendre part à la 68ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies lancée mardi par le secrétaire général, Ban Ki-moon.
Selon un communiqué officiel de la présidence, le président Ouattara prononcera une allocution à la tribune de l’ONU mercredi et aura également une rencontre avec le secrétaire général de l’ONU.
Le chef de l’Etat ivoirien présidera aussi une réunion des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et aura des entretiens avec ses homologues et plusieurs hautes personnalités, avant de regagner Abidjan le 29 septembre.
Le débat général, prévu du 24 septembre au 04 octobre prochain, portera notamment sur les approches de maintien de la paix et l’aide aux pays en transition ainsi que les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et l’élaboration du programme de développement post-2015.
Les situations en Syrie, en Egypte, au Mali et en République centrafricaine seront également au nombre des questions prioritaires inscrites dans les débats auxquels une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement prendront part.
(Aip)
kp
Selon un communiqué officiel de la présidence, le président Ouattara prononcera une allocution à la tribune de l’ONU mercredi et aura également une rencontre avec le secrétaire général de l’ONU.
Le chef de l’Etat ivoirien présidera aussi une réunion des chefs d’Etat et de gouvernement du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et aura des entretiens avec ses homologues et plusieurs hautes personnalités, avant de regagner Abidjan le 29 septembre.
Le débat général, prévu du 24 septembre au 04 octobre prochain, portera notamment sur les approches de maintien de la paix et l’aide aux pays en transition ainsi que les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) et l’élaboration du programme de développement post-2015.
Les situations en Syrie, en Egypte, au Mali et en République centrafricaine seront également au nombre des questions prioritaires inscrites dans les débats auxquels une centaine de chefs d’Etat et de gouvernement prendront part.
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