La 20ème édition du Tour cycliste de Côte d’Ivoire se déroulera du 27 septembre au 6 octobre 2013. La Côte d’Ivoire présentera trois équipes. Koko Allah, le directeur
technique national, parle de la préparation desdites équipes et livre les objectifs de ce Tour.
Notre Voie : Comment avez-vous préparé le 20ème Tour cycliste de Côte d’Ivoire ?
Koko Allah : Les difficultés financières de la fédération ont fait que c’est seulement maintenant que la préparation a démarré tardivement. Le président Allah Kouamé a cependant dégagé des moyens conséquents pour que tout aille bien. Il faut indiquer que malgré l’absence de moyens, la Fédération ivoirienne de cyclisme n’a pas croisé les bras. Elle a organisé des compétitions qui ont permis à nos coureurs d’être en jambes.
N.V : La Côte d’Ivoire doit présenter trois équipes…
K.A : En tant que pays organisateur, la Côte d’Ivoire a la possibilité de présenter trois équipes. Vingt quatre (24) coureurs dont 18 seront retenus pour la compétition ont été présélectionnés. Ce sont ces derniers qui vont constituer les trois sélections, soit 6 coureurs par équipe.
N.V : On a souvent constaté qu’avec trois équipes sur les Tours, les Ivoiriens se livrent une concurrence interne. Avez-vous pris des dispositions pour éviter ce genre de problèmes ?
K.A : Par le passé, on a connu ce genre de problèmes parce qu’il y avait une mauvaise coordination entre les sélections. Je pense que ce problème ne se posera pas. Les missions sont définies pour éviter des malentendus. Les trois équipes vont faire en sorte qu’il y ait une solidarité entre elles. C’est la condition nécessaire pour atteindre nos objectifs.
N.V : Lesquels ?
K.A : Notre premier objectif est de remporter cette 20ème édition du Tour cycliste de Côte d’Ivoire. L’autre objectif se situe au niveau de l’organisation. La fédération ambitionne de bien organiser la compétition pour se donner la chance d’inscrire notre championnat à l’Union cycliste internationale.
N.V : La Côte d’Ivoire a- t- elle les moyens de remporter ce 20ème Tour ?
K.A : Nous avons les hommes et les moyens techniques pour gagner. Au début, j’avais des inquiétudes parce que Cissé Siaka n’était pas encore arrivé. Il est là. Ma crainte est dissipée à 90%. A ces côtés, on aura Konté Bachiru, Fofana Siaka et bien d’autres. Il y a beaucoup de jeunes coureurs qui peuvent honorer la Côte d’Ivoire.
N.V : Au Tour précédent, le Burkina Faso et la France n’étaient pas là. Ces pays vont être de la partie cette année. N’avez-vous pas des appréhensions compte tenu de la valeur de leurs coureurs?
K.A : Avec l’arrivée de ces pays, nous allons jauger le niveau réel du cyclisme ivoirien. Ils ne nous effraient pas. Nous courons avec eux depuis longtemps. Nous pourrons satisfaire les populations ivoiriennes.
N.V : Pour vous, quelle sera la meilleure façon d’aborder cette compétition ?
K.A : Il ne sert à rien de commencer très fort et terminer à genoux. Nous irons progressivement. Si nous commençons très fort, nous risquons de terminer derrière. C’est une compétition que nous allons bien gérer.
Entretien réalisé par
Ephrem Touboui
technique national, parle de la préparation desdites équipes et livre les objectifs de ce Tour.
Notre Voie : Comment avez-vous préparé le 20ème Tour cycliste de Côte d’Ivoire ?
Koko Allah : Les difficultés financières de la fédération ont fait que c’est seulement maintenant que la préparation a démarré tardivement. Le président Allah Kouamé a cependant dégagé des moyens conséquents pour que tout aille bien. Il faut indiquer que malgré l’absence de moyens, la Fédération ivoirienne de cyclisme n’a pas croisé les bras. Elle a organisé des compétitions qui ont permis à nos coureurs d’être en jambes.
N.V : La Côte d’Ivoire doit présenter trois équipes…
K.A : En tant que pays organisateur, la Côte d’Ivoire a la possibilité de présenter trois équipes. Vingt quatre (24) coureurs dont 18 seront retenus pour la compétition ont été présélectionnés. Ce sont ces derniers qui vont constituer les trois sélections, soit 6 coureurs par équipe.
N.V : On a souvent constaté qu’avec trois équipes sur les Tours, les Ivoiriens se livrent une concurrence interne. Avez-vous pris des dispositions pour éviter ce genre de problèmes ?
K.A : Par le passé, on a connu ce genre de problèmes parce qu’il y avait une mauvaise coordination entre les sélections. Je pense que ce problème ne se posera pas. Les missions sont définies pour éviter des malentendus. Les trois équipes vont faire en sorte qu’il y ait une solidarité entre elles. C’est la condition nécessaire pour atteindre nos objectifs.
N.V : Lesquels ?
K.A : Notre premier objectif est de remporter cette 20ème édition du Tour cycliste de Côte d’Ivoire. L’autre objectif se situe au niveau de l’organisation. La fédération ambitionne de bien organiser la compétition pour se donner la chance d’inscrire notre championnat à l’Union cycliste internationale.
N.V : La Côte d’Ivoire a- t- elle les moyens de remporter ce 20ème Tour ?
K.A : Nous avons les hommes et les moyens techniques pour gagner. Au début, j’avais des inquiétudes parce que Cissé Siaka n’était pas encore arrivé. Il est là. Ma crainte est dissipée à 90%. A ces côtés, on aura Konté Bachiru, Fofana Siaka et bien d’autres. Il y a beaucoup de jeunes coureurs qui peuvent honorer la Côte d’Ivoire.
N.V : Au Tour précédent, le Burkina Faso et la France n’étaient pas là. Ces pays vont être de la partie cette année. N’avez-vous pas des appréhensions compte tenu de la valeur de leurs coureurs?
K.A : Avec l’arrivée de ces pays, nous allons jauger le niveau réel du cyclisme ivoirien. Ils ne nous effraient pas. Nous courons avec eux depuis longtemps. Nous pourrons satisfaire les populations ivoiriennes.
N.V : Pour vous, quelle sera la meilleure façon d’aborder cette compétition ?
K.A : Il ne sert à rien de commencer très fort et terminer à genoux. Nous irons progressivement. Si nous commençons très fort, nous risquons de terminer derrière. C’est une compétition que nous allons bien gérer.
Entretien réalisé par
Ephrem Touboui
