La Commission Nationale des Droits de l’Homme se met en ordre de bataille pour relever les défis du renforcement de l’Etat de Droit, de la défense, de la promotion et de la protection des Droits de l’Homme en Côte d’Ivoire. Hier, à l’Hôtel Belle Côte, la Présidente de la CNDHCI, Paulette Ezouehu Badjo a ouvert un atelier de formation des commissaires et du personnel d’appui de l’institution qu’elle dirige depuis juin 2013, en matière des Droits de l’Homme.
Cet atelier organisé avec l’appui de la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies de Côte d’Ivoire, vise selon elle, à offrir les « outils nécessaires et indispensables à l’efficacité et à la réussite des actions des commissaires et du personnel d’appui auprès des populations sur le terrain. »
Pour elle, ces deux jours de formation sont comme « un exercice d’immersion au cœur des notions et techniques qui relèvent l’efficacité de nos actions »
Cette formation est destinée à « renforcer le cadre de promotion, de défense et de protection des Droits de l’Homme, afin de rendre plus efficace la lutte contre l’impunité et l’éducation au respect des droits et devoirs des populations. »
Cet atelier de renforcement des capacités des commissaires, dira t-elle, est « la concrétisation de l’un des volets de la plateforme de collaboration et de partenariat qui lie implicitement la Commission à la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI. »
Cet atelier se déroulera sur deux jours et alternera connaissances théoriques avec des exercices pratiques.
Ainsi le programme prévu prévoit les thèmes suivants : la première journée est consacrée à la présentation du cadre juridique (principes de Paris), l’opérationnalisation et le fonctionnement d’une institution nationale des Droits de l’Homme.
Cette session a été faite par Eugène Nindorera, le chef de la Division des Droits de l’Homme qui a souhaité, à l’ouverture, dans son mot introductif, le renforcement de la collaboration entre la CNDHCI et l’ONUCI.
Cette session de formation a été suivie d’une autre, présentée par Vincent Yessoh, chargé des Droits de l’Homme à la division des Droits de l’Homme de l’ONUCI. Il a défini les notions et principes fondamentaux relatifs aux Droits de l’Homme et présenté les mécanismes de protection aux plans national, régional et international.
La journée de demain sera consacrée à un aspect beaucoup plus pratique et portera sur la surveillance et la documentation des violations des Droits de l’homme et les techniques d’enquête avec à la clé, la rédaction du rapport d’enquête.
Créée par la loi n° 2012-1132 du 13 décembre 2013 portant création de la nouvelle CNDHCI par rapport à la Décision 2005 qui régissait l’ex-Commission, la Commission envisage de mettre un accent particulier sur les Droits économiques, sociaux et culturels et sur le droit à la paix et à un environnement sain des populations, en raison de la pauvreté et de la dégradation avérée de l’environnement, tout en veillant à donner une assise nationale aux actions de la CNDHCI grâce à ses relais que sont les Commissions Régionales dont la mise en place est imminente.
Sur le plan régional et international, elle ambitionne de sortir, selon sa Présidente, la CNDHCI de la marginalité en optant pour une participation active de la Commission aux travaux et débats des organes régionaux et internationaux relatifs aux Droits de l’Homme et de l’insérer dans les différents réseaux.
SERVICE COMMUNICATION
CNDHCI
Cet atelier organisé avec l’appui de la Division des Droits de l’Homme de l’Opération des Nations Unies de Côte d’Ivoire, vise selon elle, à offrir les « outils nécessaires et indispensables à l’efficacité et à la réussite des actions des commissaires et du personnel d’appui auprès des populations sur le terrain. »
Pour elle, ces deux jours de formation sont comme « un exercice d’immersion au cœur des notions et techniques qui relèvent l’efficacité de nos actions »
Cette formation est destinée à « renforcer le cadre de promotion, de défense et de protection des Droits de l’Homme, afin de rendre plus efficace la lutte contre l’impunité et l’éducation au respect des droits et devoirs des populations. »
Cet atelier de renforcement des capacités des commissaires, dira t-elle, est « la concrétisation de l’un des volets de la plateforme de collaboration et de partenariat qui lie implicitement la Commission à la Division des Droits de l’Homme de l’ONUCI. »
Cet atelier se déroulera sur deux jours et alternera connaissances théoriques avec des exercices pratiques.
Ainsi le programme prévu prévoit les thèmes suivants : la première journée est consacrée à la présentation du cadre juridique (principes de Paris), l’opérationnalisation et le fonctionnement d’une institution nationale des Droits de l’Homme.
Cette session a été faite par Eugène Nindorera, le chef de la Division des Droits de l’Homme qui a souhaité, à l’ouverture, dans son mot introductif, le renforcement de la collaboration entre la CNDHCI et l’ONUCI.
Cette session de formation a été suivie d’une autre, présentée par Vincent Yessoh, chargé des Droits de l’Homme à la division des Droits de l’Homme de l’ONUCI. Il a défini les notions et principes fondamentaux relatifs aux Droits de l’Homme et présenté les mécanismes de protection aux plans national, régional et international.
La journée de demain sera consacrée à un aspect beaucoup plus pratique et portera sur la surveillance et la documentation des violations des Droits de l’homme et les techniques d’enquête avec à la clé, la rédaction du rapport d’enquête.
Créée par la loi n° 2012-1132 du 13 décembre 2013 portant création de la nouvelle CNDHCI par rapport à la Décision 2005 qui régissait l’ex-Commission, la Commission envisage de mettre un accent particulier sur les Droits économiques, sociaux et culturels et sur le droit à la paix et à un environnement sain des populations, en raison de la pauvreté et de la dégradation avérée de l’environnement, tout en veillant à donner une assise nationale aux actions de la CNDHCI grâce à ses relais que sont les Commissions Régionales dont la mise en place est imminente.
Sur le plan régional et international, elle ambitionne de sortir, selon sa Présidente, la CNDHCI de la marginalité en optant pour une participation active de la Commission aux travaux et débats des organes régionaux et internationaux relatifs aux Droits de l’Homme et de l’insérer dans les différents réseaux.
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