Reçu en direct sur le plateau d’Africa 24 à paris, le mardi 24 Septembre 2013, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Cissé Bacongo, a apporté des précisions sur les derniers mouvements de mécontentement des étudiants sur le campus de l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Il y a un an, l’ouverture des universités publiques a été effective en Côte d’Ivoire. Quel premier bilan faites-vous ?
Le bilan qu’on peut tirer dans la première année de fonctionnement des universités publiques après la réouverture, est un bilan mitigé. En ce sens que, lorsqu’on regarde les infrastructures flambantes, les équipements que nous avons acquis d’environ 21 milliards de FCFA, sont des équipements de pointe et de dernière génération. Les enseignants sont en train de prendre conscience de leur importance dans tout le dispositif qui se déploie. Les étudiants aussi. Pour la petite histoire lorsque, vous allez aujourd’hui sur les campus, vous verrez des étudiants qui ont pris conscience de leur avenir. Qui ont pris conscience de leur importance.
Pourquoi dites vous que, le bilan est mitigé ?
Je dis que le bilan est mitigé parce qu’il y a eu des difficultés que nous sommes entrain de régler. Les micros qui ne fonctionnent pas, les toilettes qui étaient fermées, les restaurants qui ne fonctionnaient pas. Les résidences qui n’étaient pas encore ouvertes. Nous sommes en train de régler tous ces petits problèmes.
Monsieur le ministre, vous parlez de difficultés. Vous avez été accueilli de façon tendue à l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody. Les étudiants parlaient d’un départ nouveau qui n’a pas eu lieu finalement. Qu’est-ce que vous répondez aujourd’hui ? Est-ce que vous avez pris en compte les revendications des étudiants?
L’accueil a été chaleureux. Mais, je pense que cet accueil est le résultat d’un malentendu entre les étudiants, les autorités aussi bien universitaires que gouvernementales. En réalité, après réflexion, ceux qui étaient dans ce mouvement de contestation n’étaient pas des étudiants.
Quelques remarques ?
Les remarques se résumaient par le manque de micros, les toilettes fermées, les restaurants qui ne fonctionnaient pas.
Tout cela a été considéré ?
J’ai failli dire, que avoir des micros dans un amphi, je ne pense pas que cela devrait être le travail d’un ministre. Il y a des autorités à la tête des universités. Comme le ministre a le dos large, il a accepté. Cependant, toutes ces difficultés ont été résolues depuis.
S.M
Il y a un an, l’ouverture des universités publiques a été effective en Côte d’Ivoire. Quel premier bilan faites-vous ?
Le bilan qu’on peut tirer dans la première année de fonctionnement des universités publiques après la réouverture, est un bilan mitigé. En ce sens que, lorsqu’on regarde les infrastructures flambantes, les équipements que nous avons acquis d’environ 21 milliards de FCFA, sont des équipements de pointe et de dernière génération. Les enseignants sont en train de prendre conscience de leur importance dans tout le dispositif qui se déploie. Les étudiants aussi. Pour la petite histoire lorsque, vous allez aujourd’hui sur les campus, vous verrez des étudiants qui ont pris conscience de leur avenir. Qui ont pris conscience de leur importance.
Pourquoi dites vous que, le bilan est mitigé ?
Je dis que le bilan est mitigé parce qu’il y a eu des difficultés que nous sommes entrain de régler. Les micros qui ne fonctionnent pas, les toilettes qui étaient fermées, les restaurants qui ne fonctionnaient pas. Les résidences qui n’étaient pas encore ouvertes. Nous sommes en train de régler tous ces petits problèmes.
Monsieur le ministre, vous parlez de difficultés. Vous avez été accueilli de façon tendue à l’Université Félix Houphouët Boigny de Cocody. Les étudiants parlaient d’un départ nouveau qui n’a pas eu lieu finalement. Qu’est-ce que vous répondez aujourd’hui ? Est-ce que vous avez pris en compte les revendications des étudiants?
L’accueil a été chaleureux. Mais, je pense que cet accueil est le résultat d’un malentendu entre les étudiants, les autorités aussi bien universitaires que gouvernementales. En réalité, après réflexion, ceux qui étaient dans ce mouvement de contestation n’étaient pas des étudiants.
Quelques remarques ?
Les remarques se résumaient par le manque de micros, les toilettes fermées, les restaurants qui ne fonctionnaient pas.
Tout cela a été considéré ?
J’ai failli dire, que avoir des micros dans un amphi, je ne pense pas que cela devrait être le travail d’un ministre. Il y a des autorités à la tête des universités. Comme le ministre a le dos large, il a accepté. Cependant, toutes ces difficultés ont été résolues depuis.
S.M