L’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) annonce l’ouverture d’une « enquête interne » sur deux fonctionnaires de la Mission pour leur implication supposée dans une « affaire criminelle » à Abidjan.
L’Onuci qui dit prendre cette affaire « très au sérieux » a ouvert une « enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d’Ivoire », indique un communiqué [lire ici-bas] de la Mission onusienne transmise hier à Xinhua.
Selon le texte, « des informations de plus en plus pressantes font état de l’implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle ».
La presse ivoirienne révèle la découverte, le 13 septembre, du corps torturé et sans vie d’une jeune fille ivoirienne enlevée cinq jours plus tôt sur son lieu de travail, un bar situé dans la commune de Marcory (sud d’Abidjan), et croit savoir que les suspects sont une employée de l’Onuci et son compagnon également fonctionnaire international à l’Onuci.
Toujours selon les médias ivoiriens, le Parquet d’Abidjan s’est saisi de l’affaire.
Dans son communiqué, l’Onuci insiste sur « sa longue tradition de coopération avec les institutions judiciaires nationales ».
« L’Onuci continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire » conformément aux « procédures de saisine » stipulées par l’accord entre l’ONU et le gouvernement ivoirien et « en vertu de l’obligation d’assistance mutuelle », conclut le communiqué.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
L’ONUCI rappelle sa tradition de coopération avec les Institutions judiciaires nationales
Abidjan, le 25 septembre 2013…. Des informations de plus en plus pressantes font état de l’implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle. L’Onuci a immédiatement pris cette affaire très au sérieux et a ouvert une enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d’Ivoire. L’Onuci voudrait rappeler sa longue tradition de coopération avec les Institutions judiciaires nationales chaque fois que de besoin.
L’OnucI continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire et ce en vertu de l’obligation d’assistance mutuelle et des procédures de saisine telles que stipulées par l’Accord entre l’Organisation des Nations Unies et le Gouvernement Ivoirien relatif au Statut des Forces de l’Onuci (SOFA).
Pour toute information supplémentaire, prière de contacter:
Kadidia Ledron, Porte-parole.
L’Onuci qui dit prendre cette affaire « très au sérieux » a ouvert une « enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d’Ivoire », indique un communiqué [lire ici-bas] de la Mission onusienne transmise hier à Xinhua.
Selon le texte, « des informations de plus en plus pressantes font état de l’implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle ».
La presse ivoirienne révèle la découverte, le 13 septembre, du corps torturé et sans vie d’une jeune fille ivoirienne enlevée cinq jours plus tôt sur son lieu de travail, un bar situé dans la commune de Marcory (sud d’Abidjan), et croit savoir que les suspects sont une employée de l’Onuci et son compagnon également fonctionnaire international à l’Onuci.
Toujours selon les médias ivoiriens, le Parquet d’Abidjan s’est saisi de l’affaire.
Dans son communiqué, l’Onuci insiste sur « sa longue tradition de coopération avec les institutions judiciaires nationales ».
« L’Onuci continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire » conformément aux « procédures de saisine » stipulées par l’accord entre l’ONU et le gouvernement ivoirien et « en vertu de l’obligation d’assistance mutuelle », conclut le communiqué.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
L’ONUCI rappelle sa tradition de coopération avec les Institutions judiciaires nationales
Abidjan, le 25 septembre 2013…. Des informations de plus en plus pressantes font état de l’implication présumée de deux fonctionnaires internationaux de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci) dans une affaire criminelle. L’Onuci a immédiatement pris cette affaire très au sérieux et a ouvert une enquête interne sans préjudice des procédures propres à la Côte d’Ivoire. L’Onuci voudrait rappeler sa longue tradition de coopération avec les Institutions judiciaires nationales chaque fois que de besoin.
L’OnucI continuera cette collaboration dans le cadre de la conduite de toutes les enquêtes nécessaires concernant cette affaire et ce en vertu de l’obligation d’assistance mutuelle et des procédures de saisine telles que stipulées par l’Accord entre l’Organisation des Nations Unies et le Gouvernement Ivoirien relatif au Statut des Forces de l’Onuci (SOFA).
Pour toute information supplémentaire, prière de contacter:
Kadidia Ledron, Porte-parole.