Le directeur de l’Autorité pour le désarment, la démobilisation et la réintégration (ADDR), Fidèle Sarassoro a procédé jeudi à San Pedro, au lancement d’un programme national d’intégration de 10 065 ex-combattants dans les métiers de l’artisanat.
Ce vaste programme qui va toucher 10065 ex-combattants sur toute l’étendue du territoire a pour objectif de renforcer leurs capacités sur une coutre période, au maximum deux mois, les aider grâces aux formateurs agréer à se recycler dans ce qu’ils faisaient par ailleurs, a indiqué le directeur de l’ADDR.
Selon Fidèle Sarassoro, gage de sécurité, de paix durable et de développement, ce projet est la tenue d’une promesse du Président Alassane Ouattara qui a demandé aux ex-combattants d’être patients parce qu’il entend accélérer leur processus de réinsertion dans le tissu socio-économique.
Le premier responsable de l’ADDR a souligné qu’à la fin de la formation, sa structure va faire ouvrir un compte bancaire pour chacun de ces ex-combattants à la Caisse nationale et d’épargne (CNCE), où un filet de réintégration de 800 000 FCFA sera logé pour permettre à chaque concerné de reprendre son activité économique.
Le directeur de l’ADDR a exhorté tous les ex-combattants de tous les bords à déposer les armes pour être pris dans ce processus de réintégration qui est, a-t-il insisté, un processus volontaire et non exclusif.
La représentante du maire, Inago Albertine a encouragé les ex-combattants à s’inscrire dans ce programme des métiers de l’artisanat parce que les options d’emplois pour eux ne se limitent pas qu’à l’armée, la police ou la gendarmerie.
Le représentant du préfet de région, Yokozo Firmin a demandé aux ex-combattants venus de San Pedro, Soubré, Sassandra, Grand Berebi et Tabou, de saisir l’opportunité de cette réinsertion et d’éviter de devenir des ‘’coupeurs de route’’.
Avec le responsable du DDR à l’ONUCI, Germain Nyoangana, il a invité les parents des ex-combattants à faciliter leur réintégration dans le tissu socio-économique, en acceptant de les recevoir les bras ouverts dans leurs différentes familles.
Le programme de réintégration qui vient d’être lancé prend fin au mois de décembre.
jmk/cmas
Ce vaste programme qui va toucher 10065 ex-combattants sur toute l’étendue du territoire a pour objectif de renforcer leurs capacités sur une coutre période, au maximum deux mois, les aider grâces aux formateurs agréer à se recycler dans ce qu’ils faisaient par ailleurs, a indiqué le directeur de l’ADDR.
Selon Fidèle Sarassoro, gage de sécurité, de paix durable et de développement, ce projet est la tenue d’une promesse du Président Alassane Ouattara qui a demandé aux ex-combattants d’être patients parce qu’il entend accélérer leur processus de réinsertion dans le tissu socio-économique.
Le premier responsable de l’ADDR a souligné qu’à la fin de la formation, sa structure va faire ouvrir un compte bancaire pour chacun de ces ex-combattants à la Caisse nationale et d’épargne (CNCE), où un filet de réintégration de 800 000 FCFA sera logé pour permettre à chaque concerné de reprendre son activité économique.
Le directeur de l’ADDR a exhorté tous les ex-combattants de tous les bords à déposer les armes pour être pris dans ce processus de réintégration qui est, a-t-il insisté, un processus volontaire et non exclusif.
La représentante du maire, Inago Albertine a encouragé les ex-combattants à s’inscrire dans ce programme des métiers de l’artisanat parce que les options d’emplois pour eux ne se limitent pas qu’à l’armée, la police ou la gendarmerie.
Le représentant du préfet de région, Yokozo Firmin a demandé aux ex-combattants venus de San Pedro, Soubré, Sassandra, Grand Berebi et Tabou, de saisir l’opportunité de cette réinsertion et d’éviter de devenir des ‘’coupeurs de route’’.
Avec le responsable du DDR à l’ONUCI, Germain Nyoangana, il a invité les parents des ex-combattants à faciliter leur réintégration dans le tissu socio-économique, en acceptant de les recevoir les bras ouverts dans leurs différentes familles.
Le programme de réintégration qui vient d’être lancé prend fin au mois de décembre.
jmk/cmas