L’Autorité pour le désarmement, la démobilisation et de la réinsertion 5ADDR) a, procédé à la remise de tricycles et de permis de conduire à 285 ex-combattants c’était hier vendredi 4 octobre 2013. La cérémonie s’est déroulée dans la cour de la mairie de Bouaké, en présence d’autorités municipale, administrative et religieuse.
Dans son mot de bienvenue, Djibo Nicolas, maire de la commune de Bouaké a indiqué que dans l’aboutissement effectif du processus du désarmement, de la démobilisation et de la réintégration, l’Etat ivoirien a besoin de partenaires extérieurs. «Aucun partenaire à lui seul ne peut faire face aux énormes défis du DDR. La complexité du processus, son caractère politique et ses liens avec la sécurité et le développement d’un pays exigent d’un partenariat élargi, bien soudé et capable de démontrer ses complémentarités » a-t-il dit, nourrissant l’espoir que l’opération de réintégration des ex combattants sera couronnée de succès, aux fins de permettre à ces jeunes de jouer leur « partition dans l’effort national de développement ». Pour sa part, le directeur général de l’ADDR, Fidèle Sarassoro a estimé que l’ADDR n’est pas « du bluff » comme certaines langues veulent le faire croire. Pour lui, sa structure, fait du « concret ». « Nous voulons aller à l’essentiel pour tenir les promesses du président de la République », a-t-il affirmé. Fidèle Sarassoro a vanté le projet « 10.065 artisans confirmés » dont la cérémonie de lancement s’est déroulée à San Pédro le jeudi 03 octobre dernier. « Ce nouveau projet que nous lançons est du concret » a-t-il avancé. Tout en se satisfaisant de la baisse des mouvements d’humeur des ex-combattants: «Je suis content que vous ayez abandonné les mouvements d’humeur. Soyez patients Aidez-nous à vous aider ». Le préfet de région, Aka Konin, qui en appelle à la patience des démobilisés leur a rappelé que le gouvernement tiendra ses engagements vis-à-vis d’eux. « Aucun ex-combattant ne sera laissé au bord de la route. C’est progressivement que vous serez réinsérés. Faites confiance au gouvernement. Face à des rumeurs faisant état de la vente de ces engins motorisés par des ex-combattants, le préfet a invité les bénéficiaires à en faire bon usage. « Faites en sorte que l’ADDR n’est pas tort de vous avoir donné ces appareils. C’est votre outil de développement ». Sur 319 ex-combattants, ce sont 285 qui ont bénéficié du permis de conduire toute catégorie et de tricycle.
Bosco de Paré
Dans son mot de bienvenue, Djibo Nicolas, maire de la commune de Bouaké a indiqué que dans l’aboutissement effectif du processus du désarmement, de la démobilisation et de la réintégration, l’Etat ivoirien a besoin de partenaires extérieurs. «Aucun partenaire à lui seul ne peut faire face aux énormes défis du DDR. La complexité du processus, son caractère politique et ses liens avec la sécurité et le développement d’un pays exigent d’un partenariat élargi, bien soudé et capable de démontrer ses complémentarités » a-t-il dit, nourrissant l’espoir que l’opération de réintégration des ex combattants sera couronnée de succès, aux fins de permettre à ces jeunes de jouer leur « partition dans l’effort national de développement ». Pour sa part, le directeur général de l’ADDR, Fidèle Sarassoro a estimé que l’ADDR n’est pas « du bluff » comme certaines langues veulent le faire croire. Pour lui, sa structure, fait du « concret ». « Nous voulons aller à l’essentiel pour tenir les promesses du président de la République », a-t-il affirmé. Fidèle Sarassoro a vanté le projet « 10.065 artisans confirmés » dont la cérémonie de lancement s’est déroulée à San Pédro le jeudi 03 octobre dernier. « Ce nouveau projet que nous lançons est du concret » a-t-il avancé. Tout en se satisfaisant de la baisse des mouvements d’humeur des ex-combattants: «Je suis content que vous ayez abandonné les mouvements d’humeur. Soyez patients Aidez-nous à vous aider ». Le préfet de région, Aka Konin, qui en appelle à la patience des démobilisés leur a rappelé que le gouvernement tiendra ses engagements vis-à-vis d’eux. « Aucun ex-combattant ne sera laissé au bord de la route. C’est progressivement que vous serez réinsérés. Faites confiance au gouvernement. Face à des rumeurs faisant état de la vente de ces engins motorisés par des ex-combattants, le préfet a invité les bénéficiaires à en faire bon usage. « Faites en sorte que l’ADDR n’est pas tort de vous avoir donné ces appareils. C’est votre outil de développement ». Sur 319 ex-combattants, ce sont 285 qui ont bénéficié du permis de conduire toute catégorie et de tricycle.
Bosco de Paré
